Mon premier Larousse, un vrai dictionnaire pour les petits. 2000 mots expliqués et illustrés, avec des exemples pour bien les utiliser. 2000 images qui aident à mieux comprendre le sens des mots. 20 planches encyclopédiques. Mon premier Larousse permet au jeune enfant d'enrichir et de préciser son vocabulaire, de découvrir les secrets et le plaisir des mots.
« La définition de vilain est une accumulation de qualités un peu accablante : laid, méchant, sale, mauvais, grossier, malhonnête... Ca fait beaucoup pour un petit canard qui vient de naître ! Un oeuf innocent rempli de tant de mauvaises intentions et cet acharnement sur le couac de la famille, c'était Caliméro avec une dimension tragique et romantique ! Je crois me souvenir du coeur qui se serre davantage à chaque humiliation qu'il subit et de l'empathie qui arrive à son comble, lorsque cette tension se déplie, et se transforme en élan (en cygne !). J'étais content, au moins, il y en a un qui ne finirait pas en confit.»
Marc Boutavant
« Enfant j'ai toujours cru que Cendrillon portait des chaussures très fragiles et très douloureuses pour les pieds. Evidemment, plus tard, je me suis rendu compte de mon erreur. Cendrillon porte des pantoufles de vair, et non de verre : vair, fourrure gris argenté. Mais cela, c'est aussi la magie des contes. Tous les ingrédients sont présents, une fée, trois rats, six lézards et bien sûr une citrouille. Quant à l'illustration, j'ai cherché la simplicité : j'ai voulu donner un joli visage à la gentille Cendrillon, presque naïf. Ses deux soeurs ne sont pas si malignes, mais ça vous l'aviez compris...»
Un classique incontournable et modernisé par l'illustration mais fidèle au texte original, qui enchantera enfants, parents et grand-parents !
Une chèvre laisse ses sept chevreaux seuls... Avant de partir, elle les met en garde : le loup viendra peut-être, il se fera passer pour moi. Et même si sa voix est rauque et son poil brun, il sait montrer patte blanche !
« Mes personnages préférés dans ce conte...les nains bien sûr ! Mais comment les illustrer à ma façon alors qu'ils sont déjà tellement connus ? En cherchant dans mes amis, il y en avait bien quelques-uns qui faisaient l'affaire. La solution était toute trouvée, d'un coup de crayon, je les glissais l'air de rien parmi les sept nains... Il y en a aujourd'hui qui font une drôle de tête en lisant cette histoire ! » Aurélie Guillerey
« La Belle au bois dormant est un conte que j'ai redécouvert en l'illustrant. Je n'avais jamais réalisé à quel point les deux personnages de femmes qui entourent la jolie princesse étaient redoutables. La mère du jeune prince charmant est même anthropophage ! Ca met un peu de piquant à cette histoire d'amour... qui finit bien. Bien sûr, sous mes pinceaux se sont glissées ici et là un chat, un chien, une chauve-souris... et un raton laveur !» Anne Wilsdorf
« En tant que grande gourmande, le souvenir que je gardais de ce conte était surtout la maison en pain d'épices, et en tant qu'ancienne étudiante en Alsace, j'y trouvais un petit goût de bretzel ! J'ai donc choisi parmi mes tubes de peinture les couleurs les plus appétissantes, j'ai transformé la lune en bonbon acidulé, la fumée en barbe à papa...et je me suis bien régalée !» Aurélie Guillerey
« Quand j'étais petite fille, j'ai lu le Petit Poucet en allemand. Ce conte me paraît maintenant très différent. Est-ce la langue française, ou bien les années qui ont passé ? Comment vais-je faire pour donner vie à tous ces personnages ? L'ogre, gros, brutal, repoussant, mais aussi, niais et vulnérable. Le Petit Poucet, vif, agile, intelligent, qui va jusqu'à retourner la force de l'ogre contre lui-même ? Comment les sept frères peuvent-ils retourner vivre chez leurs parents après tout ce qu'ils leur ont fait subir ? Je prends mes pinceaux, mes couleurs et me lance à la poursuite de ce monde cruel, cherchant à répondre à toutes ces questions. » Katja Gehrmann
" il était une fois aladin, l'orient, la lampe magique, le palais qui disparaît et le lit qui vole.
tout ce monde m'a toujours fait rêver. mais ce qui m'a le plus amusée, c'est de dessiner les deux génies comme jamais je ne les avais vus : l'un tigré qui minaude un peu, et l'autre, plus chic, avec son pantalon à carreaux et son petit chapeau rouge à pois blancs. " cécile gambini.
Un conte russe, où l'on retrouve la traditionnelle sorcière des pays froids, Baba Yaga.