Bim badaboum, le violon d'Ernest est tout cassé ! Pour le réparer, une seule solution s'offre à Ernest et Célestine : partir en Charabie à la rencontre d'Octavius le luthier. Mais à leur arrivée au pays des ours, ils découvrent avec stupeur que la musique y est désormais interdite. Pour Ernest et Célestine, c'est impensable ! Armés de leur courage et de leur ingéniosité, les deux amis lutteront contre cette injustice, jusqu'à ce que la joie revienne enfin en Charabie.
Comment sauver le vivant ? Face aux défis actuels, l'espace médiatique a fait la part belle à de nombreux auteurs nous enjoignant de nous reconnecter au vivant. À suivre cette riche veine de publications, il nous faudrait d'urgence nous rendre davantage sensibles à d'autres formes de vie, qu'elles soient végétales, animales, ou humaines, mais portées par des cosmologies étrangères à la science moderne. En nous dotant ainsi d'autres mots, de récits renouvelés, de formes d'attention inédites, nous aurions enfin une chance de rompre avec le mode de vie qui sape aujourd'hui les conditions même de notre vie terrestre.
Or ces appels à renouer avec la nature, rebaptisée « vivant », pour mieux marquer ce qui nous unit à elle, puisent dans un fond ancien, qui porte à stigmatiser, et à placer hors champ, nos activités de production - qui pèsent pourtant de tout leur poids sur le vivant.
L'ouvrage se propose de disséquer cette mise à l'écart contre-productive de la production. En l'examinant dans trois cas, nous montrons la nécessité d'en prendre le contrepied pour exercer notre responsabilité d'humain.
Au lieu de la fausse alternative entre vivre et produire, la question devient d'établir collectivement quoi et comment produire pour le vivant. Car cultiver le vivant ne peut se suffire d'une attitude générale d'amour à son égard. Pour engager la matérialité de nos vies, nos modes de subsistance et nos organisations de travail, la sensibilité et l'attention, sans cesse convoquées, doivent se traduire dans une capacité à redéfinir ce que nous produisons, ou pas, donc aussi ce que nous espérons de nos vies dans l'Anthropocène.
Les auteurs :
Alexandra Bidet, ancienne élève de l'École normale supérieure, agrégée de sciences économiques et sociales, est chargée de recherche en sociologie au CNRS. Elle s'intéresse aux façons dont nos activités quotidiennes, notamment de travail, nous amènent à explorer ce qui vaut, compte ou mérite d'être fait. Elle est l'auteur de L'engagement dans le travail. Qu'est-ce que le vrai boulot ? (PUF, Le lien social, 2011).
Vincent Rigoulet est professeur des écoles et doctorant en sciences de l'éducation à l'Université de Lorraine. Ancien journaliste, Â philosophe de formation et agronome par passion, il mène une réflexion et des expérimentations sur les manières de développer une culture du vivant à l'école primaire, et faire ainsi de l'éducation un levier stratégique pour répondre à la catastrophe écologique.
"Remontez le temps jusqu'à l'ère secondaire (- 252 à - 66 millions d'années) et plongez dans un monde aquatique où de spectaculaires reptiles incluant des prédateurs géants n'ont rien à envier à leurs contemporains terrestres, les dinosaures !
Ce livre vous fait découvrir l'univers de ces fascinants animaux, retournés à l'eau quelques millions d'années après que les premiers vertébrés en sont sortis, et leurs étonnantes modifications tant anatomiques que physiologiques et comportementales.
Un voyage étourdissant, 20 000 lieues sous les mers et durant 180 millions d'années, à la rencontre des ichthyosaures, plésiosaures, mosasaures et bien d'autres ! Si aujourd'hui ne subsistent que quelques tortues et serpents marins, ce livre richement illustré vous permet de découvrir le passé glorieux des reptiles marins et leur extraordinaire diversité."
La notion du meilleur intérêt de l'enfant est centrale dans les procédures en droit familial et en protection de la jeunesse. Cet ouvrage unique porte un regard critique et multidisciplinaire sur cette notion et sur son application dans un contexte de violence conjugale, où l'enfant doit être reconnu comme une victime à part entière de cette violence. En plus de mettre en évidence certains enjeux présents dans les pratiques auprès de ces enfants et de leur famille, il propose des pistes prometteuses pour assurer la sécurité et le bien-être des victimes de violence conjugale. Une réflexion sur le meilleur intérêt des enfants victimes de violence conjugale s'avère nécessaire, particulièrement dans le contexte actuel où des réformes majeures sont en cours dans les secteurs du droit familial et de la protection de la jeunesse. Bien qu'ancré dans la réalité québécoise et canadienne, cet ouvrage intègre des contributions internationales qui abordent des enjeux qui sont aussi présents dans d'autres pays.
Il est destiné à la communauté universitaire ainsi qu'aux gestionnaires et aux personnes intervenant dans les secteurs de la violence conjugale, de la protection de la jeunesse et du droit familial.
Nous, c'est la bande des socquettes blanches. Nous ne sommes pas comme ces vauriens de la bande du terrain vague, en face de la gare, les chats crevés.... Une plongée dans la France des années cinquante en pleine rivalité entre deux bandes : les socquettes blanches, filles de rupins, placée sous l'aile protectrice du curé de la paroisse et les chats crevés, les garçons qui ont investi le terrain vague. Leur sport favori ? Jouer à la guerre, poursuivre les chats et ... attaquer les socquettes blanches. Ennemis à la vie, à la mort ? Pour sauver le terrain vague et le jardinet de la cure des griffes de promoteurs véreux, filles et garçons vont signer un pacte...