Avec plus de 200 questions/réponses autour des grands épisodes de l'Ancien Testament, ce livre ludique est une occasion unique de découvrir et de comprendre ce qui constitue notre culture collective.
" C'est la tour de Babel ! ", " pauvre comme Job ", " être le bouc émissaire ", " faire des jérémiades "... autant d'expressions dont nous ignorons souvent le sens et qui nous sont ici expliquées, tout comme les jeux de mots hébraïques qui se cachent sous les noms d'" Adam " ou d'" Isaac ".
Un livre-jeu simple et amusant, histoire de donner une bonne claque aux idées fausses !
«Elle» est tantôt Claudia Schiffer, tantôt Lorie, tantôt directrice de la Star Ac, mais moins glamour aussi : prostituée ou victime d'inceste, comme plume de psychiatres. «Elle», c'est Catherine Siguret, «nègre» de profession, caméléon par vocation, épousant les vies pailletées des stars ou écumant les bas fonds, peu lui importe du moment qu'elle écrit. Ses confessions forment un essai tragi-comique sur ce drôle de métier où l'on se noie dans l'encre autant que dans le coeur des autres. Car elle choisit ses liaisons littéraires, s'en entiche pour le meilleur ou pour le pire, jusqu'à frôler la sortie de route. Ivre de la joie de toujours écrire «je» en étant un autre, elle raconte son vice, sa dépendance et son plaisir : ne jamais croiser le miroir et fuir le tragique dans la fiction.
Accident, deuil, maladie, handicap... la vie ne les a pas épargnés. Ils auraient pu rester victimes, mais ils ont trouvé le courage de se relever et de se reconstruire. En se mettant au service des autres.
Tournant le dos au malheur, ils ont créé ce qui leur avait manqué dans les moments les plus durs. Refusant l'inertie et la fatalité, ces huit héros du quotidien ont puisé dans la douleur l'énergie de transformer une tragédie en réussite collective. On leur doit un centre de bien-être pour grands brûlés ; la Loi Marilou qui condamne la prise de stupéfiants au volant ; une marque de vêtements pour enfants handicapés, ou encore une marque de cosmétiques soulageant les effets de la chimiothérapie...
Ils l'ont fait !
Il n'y a pas que le Petit Prince qui aime les moutons.
L'héroïne de ce drôle de roman les adore depuis l'enfance.
À tel point qu'elle décide de revenir à ses premières amours en adoptant en Corse un jeune ovin qu'elle appellera Toi.
Qu'y a-t-il de mal à cela ? De quel droit décréter qu'il s'agit d'une idée délirante ?
Mais voilà, lorsqu'on habite la très chic place des Vosges à Paris, ce genre d'extravagance passe mal. Fermement décidée à braver les interdits et les conventions sociales, l'apôtre de la cause du mouton parisien ira jusqu'au bout pour prouver que vivre en couple avec un animal qui bêle n'est pas plus absurde que de s'abêtir avec un humain qui parle.
Inclassable, loufoque et poétique, le roman de Catherine Siguret est une ode à la liberté d'être et de penser. Une comédie farfelue et caustique à contre-courant de toutes les idées reçues !
Avec ce qui pourrait s'apparenter à des fragments d'un discours amoureux, versant abandonné, Catherine Siguret offre une manière originale d'explorer la rupture amoureuse, du côté de la victime, en une cinquantaine de définitions, de Amour à Voeux.
D'une grande acuité psychologique, écrit avec beaucoup d'esprit et de vivacité, parfois touchant, parfois grave, ce texte souvent drôle malgré l'amertume du thème, pourrait être, dans le ton, un feuilleton journalistique dans lequel il est question de Facebook, de Smartphones et de speeds ratings. Un texte très féminin, même si le (e) apparaît parfois mis entre parenthèses.
Un petit dictionnaire plein de finesse et plaisant à lire à mettre entre les mains des coeurs désespérés, d'autant que le propos est au final optimiste et que ce qui en ressort, c'est qu'il y a une vie derrière ce désastre amoureux.
Elles ont marqué le xxe siècle par leur beauté, leur talent ou leur pensée.
Elles ont suscité l'admiration et l'enthousiasme, car elles incarnaient leur temps. mais cette harmonie avec le monde masquait la relation douloureuse, parfois haineuse, qu'elles entretenaient avec elles-mêmes. onze psychanalystes, psychiatres et psychologues, interrogeant le destin de ces femmes exceptionnelles, interprètent les conflits intimes qui ont marqué la vie de chacune d'elles. derrière l'écran de la gloire, ces analyses nous éclairent sur nos propres maux, leurs mobiles inconscients, et la possibilité toujours offerte de naître ou renaître à soi-même.
Marilyn et Albert ne se sont jamais cherchés, jamais même rêvés. Leurs vies ont cheminé aux antipodes, leurs caractères, leurs façons d'être au monde sont opposés : claquemurée depuis l'enfance dans une névrose bien cognée (malgré un don inouï pour le piano), Marilyn a peur de tout - aimer pour commencer. Albert, lui, a parcouru le monde sourire aux lèvres, sans jamais véritablement s'attacher à rien ni à personne, son étourderie légendaire le protégeant de tout - l'amour pour commencer. Outre cela, vingt-huit ans les séparent... Mais seulement deux étages : ils vivent dans le même immeuble, elle au second, lui au quatrième, où habite aussi sa vieille mère. Car Irène, la mère d'Albert, est à peu près ce qu'on peut trouver de plus raffiné et de plus pervers en matière de mère abusive : non contente d'avoir réussi à amarrer son fils dans l'appartement en face du sien, elle se met en tête d'ourdir son amour avec Marilyn (vieille fille inoffensive à ses yeux) comme on ourdit un complot. Tout se passe selon ses plans... jusqu'au jour où ses "créatures", éperdument tombées amoureuses (ce qui n'était, on l'a compris, ni prévisible ni prévu), lui échappent...
Dynamitant avec une énergie communicative et un vrai bonheur d'écriture les codes de la comédie sentimentale comme ceux de la psychanalyse (Marilyn et Irène sont des "cas" passionnants), voici un roman aussi singulier qu'attachant où un humour noir féroce le dispute à une tendresse sans bornes.
Je t'aime Maman, Je t'aime Papa, Je t'aime Grand-mère et Je t'aime Grand-père : Quatre livres-objets pour célébrer ceux que l'on aimeÀ l'occasion de la fête des mères et de la fête des pères, voici une nouvelle collection de livres à offrir pour dire tout l'amour que l'on porte à ses parents et à ses grands-parents.
La couverture évidée en forme de c½ur, laissera apparaître une ligne pour écrire le nom de la personne à qui l'on dédie ce livre. Ainsi personnalisé ce livre deviendra un cadeau unique, original et marquant.
À l'intérieur, plein de conseils, d'anecdotes, de petites et grandes histoires, de recettes, de chansons, de poèmes, de statistiques, d'informations utiles, d'adresses pour devenir une maman, un papa, un grand-père ou une grand-mère presque parfaite ! Le ton des auteurs est drôle, câlin, plein de bon sens et d'astuces vécues, pour que les lecteurs y piochent leur bonheur.
Des chapitres récurrents :
Les relations adultes-enfants, les jeux d'intérieur et d'extérieur, préparer les fêtes, raconter des histoires, les plus beaux textes, les sorties Et d'autres adaptés à chaque destinataire
La grossesse ? Neuf mois avant l'apothéose pour les nouveaux parents : la naissance d'un enfant ? Grâce à ce carnet concocté avec amour et humour, ils pourront enfin se préparer en toute sérénité à l'aventure du nouveau-né. Comment passer neuf mois en vivant comme une princesse, s'habiller sans se déguiser en baleine et surtout impliquer la famille et le nouveau père sans les traumatiser. Le tout agrémenté de jeux, de tests et de savants conseils sous le contrôle rigoureux de la Faculté ? Les futurs parents pourront, entre autres, choisir la maternité de leurs rêves, soumettre parrains et marraines à des épreuves sans concessions pour évaluer leurs capacités à assurer la mission, et tester le niveau de leurs connaissances sur tout ce qui concerne l'arrivée imminente de bébé. A la fois ludique et instructif, ce carnet aidera chacune (et chacun !) à vivre la grossesse comme une aventure légère et parfois... désopilante !
Un seul regard et tout peut basculer... C'est ce phénomène paranormal, appelé communément coup de foudre, qui précipite Alice dans une passion amoureuse ravageuse. Face à l'euphorie de la jeune femme, ses proches s'inquiètent : comment Philippe Musil, l'écrivain le plus séduisant du moment, pourrait-il s'intéresser à une inconnue, auteur anonyme de la vie des stars ? Peut-il seulement, entre deux conquêtes, deux best-sellers ou deux plateaux télé deviner son existence ? Certainement pas. Mais, contre toute logique, Alice fonce tête baissée et se lance à corps perdu dans l'écriture d'un ouvrage à la gloire de son héros, cet homme adulé qui, elle en est sûre, l'aimera un jour...
"A sept ans, j'ai arrêté de parler. De l'autisme tardif, ils ont appelé ça. Mes parents ont demandé si c'était fréquent. On leur a répondu non, et moi, je me serais accordé le droit de l'ouvrir une dernière fois, j'aurais ajouté : "Tant pis pour les autres !" Parce qu'autant vous dire mon handicap, c'était du faux, ma couverture cousue main après avoir déjà trop longtemps observé le monde et mesuré tout ce qu'il fallait y faire pour être, au maximum, heureux au minimum." Le livre est une profession de foi, autant que l'épopée dévastatrice d'une jeune fille à travers toutes les institutions : famille, politique, télévision... L'héroïne n'épargne la vie d'aucun tricheur, ne fait aucune concession à ceux qui ne jouent pas le jeu de la morale et, surtout, du bonheur. Pour y parvenir, elle a affûté toutes ses armes, pas toutes avouables...
Et puis, il y a les autres, les êtres rares, ceux qui lui arrachent des sentiments : la bonté de l'un, la fidélité de l'autre, la confiance du troisième. Elle erre, aime, trébuche et se relève, aime à nouveau et, finalement, un seul être sait freiner sa course éperdue : un écorché vif, perturbé, mais si émouvant qu'elle lui reste fidèle et attachée, peut-être au-delà de toute raison.
Ouvrez le livre au hasard et vous aimerez... à la folie !
Catherine Siguret est journaliste de presse écrite et de télévision, particulièrement sensibilisée aux êtres en situation marginale.
A la folie ! Je t'aime... est son premier roman, le premier aussi d'une trilogie à paraître, avec Passionnément ! Je t'aime... et Pas du tout ! Je t'aime...
«Toute petite déjà, je menais une double vie. La vraie vie, je ne la supportais pas. Je la voyais comme une mare de boue dans laquelle on se débat, avec des gens tout autour qui vous tendent la main. Mais ils sont toujours trop loin, même en semblant tout près, même quand ils vous effleurent des doigts. C'est affreux de se noyer quand même, avec quelqu'un qui vous touche et, pire encore peut-être qui vous aime. Bien terrorisée par les faits d'ici-bas, en particulier par l'amour, j'aurais pas survécu si j'avais pas mené une existence parallèle, dans un genre d'au-delà où tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.» Ce livre est l'histoire d'une orpheline qui grandit hantée par la peur de perdre. Entre son frère Hector à qui elle porte une tendresse quasi incestueuse et sa grand-mère, Mamou, qui entretient la légende familiale, elle vit tournée vers le ciel où ses parents disparus incarnent la figure du Grand Amour, celui où l'on meurt main dans la main. C'est décidé : elle n'en vivra pas d'autres.
L'héroïne mène une existence d'apparence normale, mais se réfugie dans les livres où elle continue de puiser son dédain pour les petites histoires sentimentales de la réalité. Jusqu'au jour où l'improbable rencontre d'un homme l'arrache à son indifférence et les entraîne tous deux dans une passion au bord de la folie et de la violence.
Passionnément... Je t'aime est le roman d'un enfermement, aussi bien psychologique et volontaire que carcéral et subi. Il décrit une existence «hors la vie», en marge de notre monde. C'est aussi un formidable texte sur le pouvoir à la fois créateur et dévastateur du sentiment amoureux.
Catherine Siguret est journaliste de presse écrite et de télévision, particulièrement sensibilisée aux êtres en situation marginale. Passionnément... Je t'aime est le deuxième roman de sa trilogie après À la folie ! Je t'aime...
Le couple glamour formé par Philippe Musil, écrivain à succès, et Alice, sa délicieuse épouse, vit une passion sans nuages après trois ans de mariage. Et pourtant, lorsque le chemin d'Alice croise celui d'un Grec beau comme un dieu, et que celui-ci lui glisse à l'oreille un sensuel « J'aimerais vous revoir », l'épouse comblée a bien du mal à résister... Confrontée à la flamboyance du désir quand il est tout neuf, Alice n'a (en prime !) que de bonnes raisons de succomber : son séduisant époux s'est mué en psychopathe depuis qu'il est pressenti pour un prix littéraire. Mort d'angoisse, persuadé d'être trompé, il se lance dans l'écriture d'un roman où la femme est traîtresse et l'amant irrésistible. Mais en croyant décrire la réalité de sa situation, n'est-il pas en train de dicter l'avenir à Alice ?
A trente-deux, après A la folie et Passionnément, Catherine Siguret signe le troisième volet d'une trilogie de l'enfermement. Avec Pas du tous, elle en atteint le paroxysme.
" Le très grand Sergio V. est né par le siège à près de cinq kilos dans une petite maison blanche de Djerba-la-douce, Djerba-la-fidèle, celle des dépliants de vacances en gros. De ces deux caractéristiques, la douce et la fidèle, il n'en retiendrait aucune: son âme était rude comme la montagne, et j'ai toujours estimé qu'il me trompait à tour de bras, pour des raisons que je te dirai plus tard. Il avait huit frères et soeurs, mais comme il s'est trouvé dernier-né, sa mère a vite oublié que les autres existaient. Il a donc grandi comme un dieu, ceci expliquant cela. C'est à force de maturité et de cours d'histoire qu'il a fini par ne se considérer que comme le fils de Dieu. Il était juif. Il n'eut donc pas à souffrir de la concurrence de Jésus, mais ce premier dépit de taille, n'être que le fils, concourrait beaucoup à son ultérieure mauvaise humeur chronique. Cette altération du caractère peut sembler aberrante aux impies, mais se sentir diminué à ce point le blessait profondément. J'ai partagé ce fardeau tous les jours." Elle a trente ans, il en compte le double. Voici la passion démentielle entre deux êtres qui n'auraient jamais dû se rencontrer.
Jennifer Lopez, Nolwenn, les L5, Chimène Badi, Sarah Michelle Gellar, Alyssa Milano, Jenifer Bartoli, Michelle Trachtenberg, Avril Lavigne, Katie Holmes dix noms pour la plupart inconnus du public adulte alors qu'il s'agit des plus grandes idoles des adolescentes...
Elles appartiennent au monde de la musique ou des sacro-saintes séries télé... Elles sont très jeunes, parfois à peine plus âgées que leur public, le plus souvent très jolies, et leur succès fait rêver, au point qu'elles deviennent des modèles pour leurs fans...
C'est grâce à leur ténacité qu'elles ont su construire ces destins dont elles rêvaient. En cela, leurs parcours, leurs histoires personnelles, sont riches d'enseignements, et donnent confiance en la vie.
Car celles qui sont devenues aujourd'hui de véritables stars. n'ont pas toujours eu la vie facile. Elles ont connu les problèmes que rencontrent tant d'adolescentes : les souffrances familiales et sentimentales, la pauvreté, le doute... Aujourd'hui vedettes, elles sont aussi et surtout merveilleusement humaines.
Un des derniers tabous de l'époque contemporaine présuppose qu'une mère, à défaut d'être parfaite, ne peut être que bonne. Les médias se bornent à signaler l'exceptionnel (mère infanticide ou bien complice d'inceste, de proxénétisme) mais l'existence des mères nocives, maltraitantes psychologiquement, perverses, « folles », absentes, est occultée.
Ce qui laisse les victimes bien désemparées, hébétées parfois une vie entière, alors que la mauvaise mère ordinaire et la maltraitance psychologique sont beaucoup plus répandues qu'on ne le croit.
Catherine Siguret a recueilli des témoignages du contraire absolu de cette légendaire bonté, tous empreints en conséquence de culpabilité, honte, incompréhension, sentiment d'anormalité ou de traîtrise.
Une quinzaine de cas d'hommes et de femmes racontent leur mère « Folcoche » (seul modèle référent culturellement), avec des variantes : nymphomane, abandonnant ses enfants, haineuse, méprisante, indifférente, incestuelle, infantile, perverse, sadique etc.).
Avec la question qui s'est posée pour eux de devenir à leur tour parents, lestés d'un tel anti-modèle, et du pardon à l'heure de la vieillesse.
Patrick Delaroche, apporte le regard du psychanalyste afin de ne pas laisser le lecteur en spectateur saisi par l'effroi, mais de l'instruire sur les soubassements, la fréquence et l'issue possible pour les victimes.
Personnage solitaire, atypique et intuitif, Raphaël Nedilko pensait servir l'humanité quand il s'est investi corps et âme dans la police. Enquêteur minutieux et opiniâtre, plus Columbo marchant au flair et à la psychologie que « technoflic » ne jurant que par les investigations scientifiques, il a résolu deux cold cases vieux de 25 et 18 ans (affaires Maillery et Blétry, deux des « disparues de l'A6 »), dont il nous livre le récit passionnant. Il s'est heurté de plein fouet à l'inertie et à la jalousie de ses pairs, mais a puisé sa force dans l'amour des familles de victimes. Il mobilise aujourd'hui son énergie pour dénoncer les dysfonctionnements de l'institution et pointe les pièges qui promettent dès le départ l'enlisement des enquêtes. Car les cold cases ne sont pas une fatalité.
Une affaire hors norme :
Nuit du 10 au 11 janvier 2002. Élodie Kulik, directrice de banque à Péronne en Picardie, quitte un ami après un dîner en ville. Au matin, on retrouve sa voiture précipitée dans le fossé, son sac à main laissé sur le siège passager. Nulle trace de la jeune femme. On découvrira son corps volontairement incendié quelques kilomètres plus loin à l'abri des regards. Pour les enquêteurs comme pour l'avocat pénaliste local, l'indice de confiance est au plus haut : ils mettront vite la main sur l'assassin. La victime a lancé un appel au secours aux pompiers à 0 h 22. Ce message enregistré - où se mêlent les voix de deux hommes -, insoutenable pour ceux qui l'entendront au procès, sera l'une des pièces majeures du dossier. Contre toute attente, l'affaire nécessitera dix-neuf ans d'enquête et d'instruction. C'est, en 2011, l'affaire criminelle française qui a donné lieu au nombre de prélèvements d'ADN le plus important : presque 6 000...
Une figure hors du commun : Jacky Kulik, le père d'Élodie Il a déjà enduré de tragiques revers du destin. Mais il va endosser son habit d'enquêteur, pour le meilleur et pour le pire car l'enquête s'enlise. Il se rapproche de l'association pionnière dans la lutte pour la mise en place et l'extension des fichiers d'empreintes génétiques, l'association Angélique, fondée par Isabelle Boquel. Ensemble, ils mobilisent les politiques, se fédèrent aux autres parents de victimes, font des marches blanches. C'est grâce à leur acharnement et à l'arrivée providentielle en 2007 d'un jeune juge d'instruction que l'enquête va prendre un autre tournant quand sera utilisée la technique de l'ADN par parentèle en 2012. Une première en France, cinq ans avant que la loi passe. Un des agresseurs d'Élodie est enfin identifié, par recoupement avec le fichier des empreintes génétiques... C'est le fils d'un homme emprisonné pour agressions sexuelles. Mais Grégory Wiart est mort en 2003 dans un accident de voiture. Commence alors une nouvelle longue enquête « en toile d'araignée », pour cerner l'entourage du meurtrier.
Au beau milieu de la France rurale, trois enfants grandissent auprès d'un père dévasté par son déclassement et d'une mère héroïque qui n'aura de cesse de leur cacher la précarité dans laquelle ils vivent en affichant une joie à nulle autre pareille. Mais Roman, l'aîné, « comprend tout », et décide de s'en sortir en brillant à l'école, exhortant ses deux soeurs à en faire autant. La mort prématurée de leur père, puis de leur mère, met les deux aînés, tout jeunes étudiants, face à un défi : ne pas abandonner leur petite soeur, Yonah, treize ans, aux services sociaux. Mais comment l'élever sans arrêter leurs études et sans un sou ? Il faudrait un miracle pour que la justice leur en confie la tutelle. Ce miracle aura lieu, fruit de la générosité nationale. Et les deux aînés pourront poursuivre leurs études comme le souhaitait leur mère, brisant l'engrenage de la pauvreté.Roman Malo, aujourd'hui psychologue, retrace dans ce livre poignant l'histoire d'un combat et d'une promesse : ne jamais se séparer comme ils l'ont promis à leur mère, parce qu'ils n'ont que l'amour... Un témoignage crucial et un formidable message d'espoir : nul n'est condamné à son destin social.
«Le pire, c'était le sentiment d'être pris au piège. La nounou n'en pouvait plus, les amis n'en pouvaient plus, nos parents n'en pouvaient plus, sa soeur n'en pouvait plus. Nous vivions en prison, avec un monstre. On se disait bien qu'il y avait une explication. Mais laquelle? En attendant, on subissait. Les conseils, on les avait tous suivis. Rien n'avait de prise sur Stan. Il n'avait que cinq ans. Il nous détruisait et semblait très malheureux.»Ce récit est le cri d'une mère qui s'est battue pour son fils, et une sonnette d'alarme pour forcer les pouvoirs publics à replacer au coeur du débat la question des pathologies psychiatriques des enfants.À tous les parents désemparés qui ont tout essayé, qui ont cherché, consulté, sans trouver de solution, ce livre est pour vous. Il ne donne pas un diagnostic mais une piste à creuser, trop souvent exclue d'emblée en France:et si mon enfant était bipolaire?