Depuis des siècles, la Russie se pose en empire destiné à influer sur le cours des événements en Europe et dans le monde. Les mutations de l'histoire, de l'Empire tsariste à l'Union soviétique puis la Fédération de Russie, n'impliquent aucun renoncement à une ambition impérialiste justifiée par des prétentions messianiques. Dans cet ouvrage, le rappel des données historiques permet de démonter les représentations idéologiques que les Russes aiment à répandre et qui ont aujourd'hui encore un écho en Occident. Ce livre tente de saisir les enjeux des événements en cours d'un point de vue global, l'analyse fournie dans cet ouvrage prenant en compte la dimension eschatologique des actions entreprises par le pouvoir russe. La guerre déclenchée par Poutine s'inscrit dans la perspective de la Fin des Temps, le régime russe actuel possédant plusieurs traits caractéristiques du système de l'Antéchrist. Mais « l'espoir meurt en dernier », comme le dit un proverbe russe. Gageons que l'espérance permettra de libérer la Russie des forces noires qui la dominent présentement.
Le déclenchement de la guerre contre l'Ukraine a surpris un peu partout. Pourtant, elle participe d'un continuum historique où s'inscrit la gouvernance selon Vladimir Poutine. On voit dans cette agression se manifester des traits anciens relevant du despotisme en Russie. En lançant cette guerre sur la base d'un mensonge - le régime en Ukraine serait « nazi » ! -, le président russe a remis en cause le système de sécurité en Europe ainsi que les rapports de force géopolitiques. Les crimes de guerre commis depuis le 24 février 2022 peuvent aussi être considérés sous un angle eschatologique. En somme, les forces du mal à l'oeuvre dans cette agression accélèrent la marche vers la fin des temps.
L'annexion de la Crimée en 2014 et la guerre hybride menée dans le Donbass depuis lors ont profondément affecté les rapports des pays occidentaux avec la Russie. Des sanctions économiques ont été prises par l'Union européenne et les USA à l'encontre de celle-ci. En réponse le pouvoir russe tente par tous les moyens de diviser le front occidental et pratique une désinformation à destination des opinions publiques européennes et nord-américaines. Cet ouvrage essaie de dissiper les faux-semblants en rapportant les thèses à des données de l'histoire ou de la vie contemporaine en Russie. Il est fondé sur la thèse que la politique de Vladimir Poutine vise à occulter le mécanisme de sa gouvernance - essentiellement kleptocratique - en mettant en condition l'opinion intérieure et internationale. Confrontant les realia (les faits avérés) et les discours officiels russes, l'auteur exprime sa solidarité avec les groupes qui en Russie même mènent un combat pour la vérité et le respect du droit. Sur un plan général, l'auteur démontre que le pays connaît une nouvelle phase d'obscurantisme réactivant les démons du passé. L'espérance toutefois demeure, elle qui selon un proverbe russe « meurt en dernier ». Riche et fouillé, un édifiant portrait critique de la Russie de Poutine.
Lumières d´exil - un disciple de Swami Prajnanpad chez Einstein, Freud et Gorki.Roman initiatique avec une préface de Gilles FARCET. Ces carnets imaginaires rapportent l'histoire vraie d'un jeune révolutionnaire indien qui fuit l'Inde de 1930 comme passager clandestin confiné sur un paquebot italien. Dans une Europe au bord du précipice, il rencontre trois personnages clefs de l'histoire, génies plus ou moins proches de l'exil.Ce disciple de Swami Prajnanpad, maître nourri de la tradition hindoue et novateur dans sa reformulation de l'Advaïta vedanta, débarque à Naples, accueilli par Maxime Gorki. Les deux hommes échangent sur Gandhi, le combat social et le chemin spirituel. Le célèbre écrivain russe l'envoie alors auprès d'Albert Einstein, muni d'une lettre de recommandation. Arrivé à Berlin, ce dernier le reçoit et entame avec lui un dialogue autour des visions orientales et occidentales du monde sur la science et la spiritualité. Échanges au cours duquel Tagore aura son mot à dire. Le prix Nobel de physique lui permettra enfin de rencontrer Sigmund Freud. Après une série d'entretiens au cours desquels, ils échangent sur la psychanalyse et l'enseignement de Swami Prajnanpad, et jettent des ponts entre les deux. Enfin, Satya, notre jeune héros, entame une cure avec Freud. Ce parcours initiatique d'un exilé, orchestrant réalité et fiction, détails historiques et réflexion, est à la fois le récit d'une année charnière pour chaque protagoniste et un essai présentant une vision du monde qui met en perspective les dimensions sociales, scientifiques, psychologiques et spirituelles.
Mai 68 : une révolte étudiante contre une société conservatrice ?
Les courants révolutionnaires de mai 68 ont ouvert la voie à des innovations en rupture avec les canons de la modernité, permettant à la « génération 68 » d'accéder au pouvoir et de créer une nouvelle étape : la postmodernité.
Étudiant les idées d'alors et l'état de la France aujourd'hui, l'auteur pointe les contradictions et les impasses où la postmodernité a mené la France et l'Occident.
À travers le prisme de l'arc-en-ciel, ce livre explore les aspects de la vie en Russie. La période dont il est question ici marque un tournant. Entre deux présidents, Eltsine et Poutine, entre deux siècles et même deux millénaires. Les changements décisifs s'opèrent souvent en Russie à la conjointure des siècles. Compte-rendu de séjour, essai se référant à la culture russe, cet ouvrage est un témoignage original, un point de vue personnel fondé sur l'expérience.
Les récits de ce recueil mettent en regard deux époques de l'histoire polonaise au XXe siècle. Il ne s'agit pourtant pas de faire oeuvre de mémorialiste. Confronter le régime communiste de la « Pologne populaire » au temps de liberté recouvrée révèle l'évolution des rapports humains dans la bascule de l'histoire. Le système communiste instauré pendant un demi-siècle a permis, une fois sa chute consommée, de prendre la mesure de certaines possibilités de l'âme humaine développées par l'oppression totalitaire. La plupart de ces récits mettent aux prises des personnages polonais et français. Les histoires se déroulant dans diverses villes de Pologne oscillent entre déchirement, nostalgie et grotesque. Les intrigues permettent d'explorer, par coups de sonde successifs le riche terreau de l'âme slave en sa composante polonaise. Cet ouvrage fait écho à la remarque du Prix Nobel Czeslaw Milosz indiquant que le monde de l'Europe centrale et orientale recèle encore bien des mystères aux yeux du public occidental.
Le premier recueil des Récits de Pétersbourg illustre la face sombre de la vie quotidienne dans la Russie du dernier quart de siècle. Délaissant les aperçus politiques qui servent le plus souvent à aborder ce grand pays, ces nouvelles alternent sur le mode grotesque ou pathétqiue des scènes de la vie pétersbourgeoise.
L'horreur le dispute au ridicule, le tragique au comique. On appréhende ainsi les ressorts obscurs de l'âme russe dont Dimitri Karamazov déplorait le caractère trop large.
Ancienne capitale d'un Empire de l'incroyable, Saint-Péterbourg forme le cadre d'histoires excédant la mesure ordinaire, dont Russes et Français sont les acteurs privilégiés.
"L'amour selon l'air célèbre de Carmen est « enfant de bohème ». Ce second recueil des Récits de Pétersbourg en montre la riche palette, sous le signe de la promesse et de l'inachèvement. Dans l'univers de Saint-Pétersbourg, l'âme slave lui confère des accents passionnés et douloureux. De Saint-Pétersbourg à Paris, Berlin, Rome ou New York, les personnages russes vivent leurs amours, souvent avec des étrangers, selon les modes contrastés de la béatitude, de l'élégie, ou du pathétique. Rayonnant à partir de l'ancienne capitale, l'amour tisse des destins multiples dans la Russie libérée du carcan soviétique."
Où en est la société française un demi-siècle après la disparition du Général de Gaulle ? La dissémination en archipel des différents pans de la société française traduit un délitement croissant. Il est patent que la France a vu sa cohésion et sa puissance en tant que nation diminuer au cours du demi-siècle. En atteste sa disparition comme référence obligée dans les discours officiels, la nation étant remplacée par la République et ses « valeurs ». Pour conduire l'analyse, l'auteur procède par plans de coupe conceptuels étagés selon une hiérarchie traditionnelle. Il examine ensuite les courants nouveaux issus de mai 68 militant pour des causes fondées sur des postulats idéologiques dont la radicalité, les contradictions internes et externes ne font qu'accentuer le délitement en cours. L'issue ne réside pas dans la militance. Pour retrouver l'unité perdue de la France, patrie de Jeanne d'Arc, la « voie intérieure » s'impose. De la sorte on pourra mettre fin aux conflits et violences en tous genres qui s'avèrent de puissants agents de désagrégation.
C'est reparti pour un tour ...Revivez l'actualité 2021 vue, revue et corrigée par Faure.
Le monde de l'ingénierie, tout particulièrement dans le numérique, adore les problèmes. Et c'est bien normal car ils sont leur raison d'être : pas de problème, pas d'ingénieur. Et dans le monde des startups technologiques cela va jusqu'à : pas de problème, pas de business.
À l'heure où nous devons faire face à des « problèmes » globaux et critiques (pandémies et réchauffement climatique pour ne citer que les plus évidents), il nous a semblé opportun de rappeler à quel point le « solutionnisme » technologique pouvait ajouter une complexité accidentelle nuisible à des situations qui sont déjà en elles-mêmes complexes par nature.
Ce troisième volume des Digital Studies n'est pas pour autant une anthologie des méthodes de résolution des problèmes. On ne cherche pas ici à faire catalogue, car le sujet est immense et océanique, pensez donc : « la résolution des problèmes », rien que ça ! Notre intention est de déployer une carte de ce vaste domaine, non pas qu'il soit un territoire vierge et lointain à découvrir mais, bien au contraire, un territoire à la fois familier et quelque peu étranger, comme quand on a le nez sur quelque chose et qu'on n'arrive pas à en voir la forme générale.
La pandémie de Covid 19 a ravivé dans les consciences la hantise de la mort. L'image de la faux brisant les vies sans pitié revient, subliminale, dans les consciences soustraites par le confinement à l'affairement quotidien. L'époque postmoderne a vu, en Occident, la foi chrétienne refluer sous l'effet du consumérisme et du positivisme. L'approche scientifique régit la mentalité, induisant une défiance sceptique à l'égard de la vie après la vie. Toutefois, durant le dernier quart du XXe siècle, le voile s'est levé à l'instigation du docteur Raymond Moody sur les expériences de mort imminente (EMI). L'affaiblissement de la foi s'est trouvé compensé par l'afflux des témoignages émanant de personnes nommées expérienceurs en raison du caractère spécifique de leur vécu. Cet ouvrage tente de faire le point sur ce phénomène. La question est abordée sous plusieurs angles en tentant d'abord d'établir un tableau de concordance entre les innombrables témoignages recueillis, puis en examinant les critiques formulées à leur encontre et en évaluant leur pertinence. Dans un troisième temps ce livre confronte les données fournies par les expérienceurs et les notions véhiculées par la spiritualité contemporaine. Pour terminer, ce livre se propose de définir le sens des EMI-NDE dans notre époque postmoderne. Tandis que la confusion se répand dans les esprits, obscurcissant la vision des uns et des autres, les témoignages apportent des éclats d'une Lumière qui ne s'est jamais éteinte dans le coeur des hommes. Les religions se dissolvent peu à peu pour laisser place à un lien direct fondé sur la Connaissance. La relation avec le Divin est en train de se transformer au moment où s'achève l'ère zodiacale des Poissons symbolisée par le christianisme. Traiter des EMI-NDE permet de s'y préparer sur fond d'inquiétude universelle.
Troisième et dernier volet de la saga historique des Dents noires, L'encre et le feu suit Diana, fille de Dioneo et de Myriam, dans ses périples à Paris, Venise, Lyon et Constantinople. Entre sa quête de liberté, son amour des livres et sa soif de vengeance, son histoire plonge le lecteur au centre des tractations diplomatiques secrètes de l'« alliance impie » conclue en 1536 entre François 1er et Soliman le Magnifique, et plus largement au coeur des grands bouleversements de la Renaissance.
12 juillet 1515. Dioneo, apprenti imprimeur de 15 ans, assiste à l'entrée royale de François I&ersup ; à Lyon, ville frontière du royaume de France. Il ignore encore que cette journée va sceller son destin...La colline aux corbeaux, premier volume des Dents noires, saga romanesque inspirée de l'histoire de l'imprimerie entre Lyon et Venise au XVI? siècle, relate les amours et le destin tragique d'un jeune homme, né pauvre, qui se révèle fou de savoirs, d'aventures et de liberté, victime de l'intolérance religieuse qui déchire son temps.Un thriller machiavélique qui fait écho aux interrogations et débats actuels autour d'Internet, des fake news et des réseaux sociaux.Plongez dans la fantastique épopée de l'imprimerie à la Renaissance.
16 août 1517. Iulio, jeune compagnon imprimeur, quitte Lyon pour Venise. Dans cette ville brillante et sulfureuse, il découvre, ébloui, l'humanisme en même temps qu'il se heurte aux interdits sociaux et religieux de son temps. Sur les traces de son ami le navigateur Giovanni Verrazano, explorateur du site de New York, et sous le choc de sa lecture d'Utopia de Thomas More, il se prendra à rêver du Nouveau Monde, d'une société de justice et de tolérance, et fera ainsi l'apprentissage d'une vie.Après La colline aux corbeaux, premier tome de la saga Les dents noires, plongez au coeur des capitales de l'imprimerie que sont Lyon et Venise, et découvrez la fantastique épopée de l'imprimerie à la Renaissance.
21 janvier 1535. Une jeune enfant, Diana, s'avance sur le parvis de Notre-Dame. Elle est la fille de Dioneo, imprimeur lyonnais condamné par l'Inquisition et pendu quelques années plus tôt. En ce matin d'hiver glacial, elle assiste au supplice par le feu de plusieurs hérétiques. Au même moment, François Ier fait interdire l'imprimerie.
La rencontre fortuite de Diana avec Rabelais, dont on découvrira les activités occultes, va changer son destin. Victime d'un odieux chantage, elle se retrouve à Venise, Constantinople et Lyon, au coeur des tractations de «?l'Alliance Impie?», conclue entre le roi de France et Soliman le Magnifique. Elle devient l'un des meilleurs agents de la Couronne sous la fausse identité de Damiano - avec pour mission de nourrir la bibliothèque du roi en manuscrits, trésors perdus de l'Antiquité. Aventures, passions, tragédies familiales et amoureuses insufflent au récit un rythme étourdissant, révélant haines, trahisons et secrets de liens inattendus.
Après La Colline aux corbeaux et L'Homme au gant, L'Encre et le feu est le troisième et dernier volet de la saga des Dents noires, grande fresque romanesque dont le personnage principal n'est autre que le Livre, dans un monde en pleine mutation.
Heliane Bernard et Christian-Alexandre Faure, docteurs en histoire, renouent ici avec la grande tradition des romans historiques d'aventures.
Lyon 16 août 1517. Iulio, jeune compagnon imprimeur, sans fortune et sans nom, s'embarque depuis Lyon pour Venise. C'est lui, L'Homme au gant, que, par un fabuleux hasard du destin, peindra le grand Titien. Dans cette ville brillante et sulfureuse, il va s'éblouir de tout ce qui fait l'humanisme, mais se heurtera à la passion exclusive d'une femme, et aux interdits sociaux et religieux de son temps. Il lui faudra fuir. Sur les traces de son ami le navigateur Giovanni Verrazano, découvreur du site de New York, et sous le choc de sa lecture du livre Utopia de Thomas More, il se prendra à rêver de Nouveau Monde et d'une société de justice et de tolérance...
Roman initiatique inspiré de personnages et d'évènements réels, L'Homme au gant est l'histoire d'une vie. Après La Colline aux corbeaux, premier tome de la saga « Les Dents noires », il plonge le lecteur au coeur des capitales de l'imprimerie que sont Lyon et Venise, où se croisent des personnages aussi fameux que le richissime banquier Thomas Gadagne, le mage Nostradamus ou encore « le Prince des libraires », Sébastien Gryphe - dans un siècle raffiné et violent qui évoque, par ses bouleversements, notre monde contemporain.
12 juillet 1515. Dioneo, apprenti imprimeur de 15 ans, assiste à l'Entrée Royale du nouveau roi François 1er à Lyon, ville frontière du Royaume de France. Témoin et héros inconscient et provocateur d'un incident banal, il ne peut deviner que cette journée va sceller son destin. La Colline aux corbeaux, premier volet des «?Dents noires?», est un roman initiatique, véritable thriller machiavélique qui nous fait arpenter les rues et les secrets de deux grandes villes de la Renaissance, dans un temps où l'imprimerie, technologie révolutionnaire, joue un rôle majeur, bouleversant les valeurs et les mentalités. Un roman historique qui fait écho aux interrogations et débats actuels, et qui n'est pas sans évoquer notre époque en pleine mutation.
L'OUVRAGE :Deux mondes aux mystérieuses correspondances. Quatre thèmes communs, quatre évidences.La notion d'hallucination. Dans Thérèse Raquin, une fois le meurtre de Camille commis, Laurent va constamment voir réapparaître son cadavre verdâtre. Dans La Petite Fille aux allumettes, chaque craquement, et donc chaque étincelle, vont donner lieu à une apparition illusoire. La solitude (la misère) sociale. Dans Thérèse Raquin, Thérèse et Mme Raquin ont une petite mercerie, dans une impasse pluvieuse. Tout cela ne respire pas le luxe, mais bien au contraire une précarité sociale. Dans La Petite Fille aux allumettes, évidemment celle-ci est obligée de vendre des allumettes à des clients indifférents pour d'une part, ne pas se faire battre par son père et d'autre part, gagner quelques sous pour se nourrir. Des êtres qui se consument. Thérèse est emportée dans l'ivresse de la passion physique et cette passion-là va la perdre, la consumer. Pour La Petite Fille aux allumettes, la métaphore est brutale puisque lorsque toutes les allumettes auront été consumées, elle sera morte. La fatalité du destin. Et Zola, et Andersen nous disent à leur manière qu'on n'échappe pas à son destin. Dès que Thérèse rencontre Laurent, son destin sera inéluctable et la pauvre petite fille aux allumettes si pauvre, si seule, mourra de cette pauvreté et de cette solitude.
Avec la fin du «siècle de l'automobile» et de l'«ère du pétrole», ce sont aussi la télévision, les industries de programme et les industries culturelles en général qui sont entraînées dans une crise profonde, subissant la désaffection d'une partie croissa
Et si le coupable n'était qu'un livre ?
Un livre doué de raison, capable de conduire son lecteur jusqu'au meurtre. C'est à cette question que devra répondre le commissaire Bartoloméo Guidoni, flanqué de ses deux lieutenants, la jeune et exubérante Mandy et le bouillonnant Pierrot Cublin. Trois flics singuliers vont mener un combat étrange contre le Sensum Maledictis, un livre de sang écrit par un moine défroqué au dix-septième siècle.
Passé contre présent, qui aura raison de l'autre ?
Une chose est sûre, la lutte fera des victimes.
Après Requiem, un premier roman qui constitue le prélude de cette histoire, puis leurs chroniques de l'infortune qui leur vaudra d'être Lauréats du concours " Les plumes stéphanoises ", Jean-Michel Faure et Christian Gaïdo collaborent une nouvelle fois et signent avec " Le sens du mal " un polar musclé et bourré d'humour.
À déconseiller aux âmes sensibles toutefois.