De A à Z, les grands concepts de la philo en 400 citations On ne fait pas ce qu'on veut et cependant on est responsable de ce qu'on est.
Jean-Paul Sartre * L'homme est naturellement bon et c'est la société qui le déprave.
Jean-Jacques Rousseau * Le travail a quelque chose de semblable à la mort. C'est une soumission à la matière.
Simone Weil
Grâce à Bernard Pivot et à ses Dicos d'Or, la dictée a su se faire aimer à nouveau des Français. Ce qui était auparavant une corvée (attachée à de tristes souvenirs d'enfance) a été popularisée par la télévision et a même réussi l'exploit de devenir un véritable jeu !
Jérôme Duhamel nous invite à un voyage au coeur de l'histoire de la dictée. Des dictées mythiques (Mérimée, Perec, Pivot) à celles de grands auteurs (Baudelaire, Diderot, Hugo) en passant par les dictées à thèmes ou celles plus ludiques, retournez sur les bancs de l'école et testez votre orthographe au gré de 150 dictées. Vous y découvrirez les secrets d'une « bonne dictée » tout en vous plongeant dans les témoignages de grandes figures de la littérature et de leurs souvenirs de cet exercice périlleux qui marqua leur jeunesse. Prêt à vous tester ? À vos stylos !
Classées par thèmes, voici plus de 7 000 pensées choisies avec gourmandise par Jérôme Duhamel. Il y en a pour tous les goûts : extraits littéraires et poétiques, sorties politiques et historiques, pensées philosophiques, aphorismes humoristiques, extraits de chansons...
Tous les genres et les styles sont ici représentés, même ceux que l'on n'attend guère dans ce genre de dictionnaire : les auteurs et penseurs contemporains, les humoristes, les chansonniers et ceux que la postérité a laissé de côté, etc. Ce dictionnaire laisse également une place enfin décente aux citations des penseurs au féminin, car les femmes sont souvent les grandes absentes des anthologies !
Les citations sont classées par thèmes et parsemées d'encadrés divers éclairant l'univers d'un auteur, le contexte ou la genèse d'une oeuvre. Un index des auteurs permet également une navigation plus aisée au fil des pages.
Bref, un dictionnaire absolument moderne qui, tout en laissant une part méritée aux classiques, laisse la part belle à l'innovation, pour notre plus grand plaisir !
Petits bobos ou gros pépins, accidents, régimes, alcool ou sexe, médecins, chirurgiens et infirmières, hôpitaux, cliniques et sécurité sociale : quand il s'agit de leur santé, les Français se soignent à l'humour noir...
« Ma bonne santé me conduit à être souvent malade. » « Ma femme est stérile de père en fils... » « Quand il est mort, notre médecin de famille a perdu une bonne partie de sa clientèle. » « Je ne supporte les piqûres que quand on ne m'en fait pas ! » « Mon sang n'a fait qu'un tour avant de revenir en arrière. » « J'ai été endormi par euthanasie locale... » « Même quand je hurle de douleur, je ne me plains jamais. » « A part un peu d'alcoolisme par-ci par-là, je ne bois pas. » « Quand je ferme les yeux, je trouve que ma vision diminue. » « Mon mari est mort comme il a vécu, bêtement... »
Ancien médecin devenu écrivain, Laurent Pasquier possède à 50 ans tout ce dont il avait rêvé : le succès littéraire, les honneurs, l'aisance matérielle... Il est un romancier qu'on lit, une voix qu'on écoute, un homme qu'on respecte.
Mais on est en 1939, et ce destin trop idéal va voler en éclat... Un amour aussi insolite qu'inattendu le frappe comme la foudre, menaçant la paix familiale et l'obligeant à remettre en cause tout ce qu'il croyait acquis.
Dans son propre « clan » ? où l'argent du puissant Joseph dicte sa loi ? les intérêts prennent le pas sur les sentiments et c'est dans le drame que frères et soeurs dénouent ambitions et conflits.
C'est alors que surgit la Seconde Guerre mondiale. Tandis qu'Adolf Hitler humilie notre pays, les Français, eux, rivalisent de trahisons et de lâchetés.
Quel choix fera Laurent Pasquier entre la résistance à l'ennemi ou la compromission avec Pétain ? Son amour tout neuf sera-t-il celui de la déchéance ou de la rédemption ? Le clan Pasquier saura-t-il à nouveau surmonter ses divisions ?
En couverture : Photomontage d'après des photos © Joe Sachs / Corbis ;
© Tom Grill / Corbis ; © Classic Stock / Corbis ; © Roger-Viollet
Intersection permanente, subreptice et redondante de ces instances directrices comme tyranniques et geôlières, de ces entités contraires, concomitantes mais irréductibles, ce point où, comme sous l'effet d'une mécanique inenrayable d'une attraction où la vie croise la mort, l'hier le lendemain, l'amour le désamour, le je le tu. Entrelacement, embrassement suspendus entre volupté et ennui, souvenir et destinée, subjectivité et dépersonnalisation, amour de soi et amour de l'autre. Comme une oscillation constante entre ces deux extrémités, il est un point fixe dans lequel le poète s'exile et, comme dissimulé, il y observe cette temporalité s'esquiver entre la nostalgie de ces plaisirs charniers et charnels et la peur d'une torpeur irrémédiable poussée sans cesse par le bientôt à regarder ce qui est déjà trop tard. Une poésie picturale captive et captivant cet entre deux qu'est l'existence, suspension d'une plume-transfigure qui transmue les sons et les sens au rythme de ce regard romantique, hagard rêveur et fuyard.
Où trouver tout, n'importe quoi et plus si affinités depuis la fin du catalogue Manufrance ? Quand auront disparu les gardiens de phare, les concierges et les petits artisans, aurons-nous gagné au change ? Ecoles, bistrots, églises : on ferme.
Nos villages deviendront-ils des déserts ? Le pays vivait de son agriculture : pourquoi les paysans en meurent-ils aujourd'hui ? La Poste et la SNCF étaient notre fierté : qui donc les a naufragées ? Est-ce un réel progrès que tant d'enfants ne sachent plus ni lire, ni écrire, ni compter à l'entrée en sixième ? Ils imposaient autorité et discipline : les parents d'hier étaient-ils pour autant des tortionnaires ? Nos sportifs récoltaient des médailles, pourquoi ne gagnent-ils plus que du fric ? Quand la politique fait bling-bling, on s'interroge : de Gaulle aurait-il épousé un top-model ? Léon Blum, qui n'avait pas de Rolex, a-t-il raté sa vie ? Louise Michel et Jean Jaurès méritaient-ils d'avoir Ségolène et Jack comme héritiers ? A quoi sert l'Académie française si elle ne dénonce pas un président qui massacre notre langue ? La politesse et le respect étaient-ils des valeurs moins sûres que la grossièreté et le je-m'en-foutisme actuels ? La télé d'hier se montrait-elle stupide quand elle ne confondait pas " vulgariser " avec " vulgarité " ?
Un livre résolument mais gentiment misogyne qui recense les 500 petites phrases prononcées par les femmes les plus agaçantes aux yeux des hommes.
Un florilège de lettres adressées à l'administration, aux professeurs, aux médecins, aux banquiers... drôles ou insolites.