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Atelier Baie
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Un beau livre de Jacques Durand contenant 82 chroniques, un cahier d'illustrations et surtout l'amour du Toros. On y retrouve les oeuvres de poètes, de philosophes, de peintres, de toreros, de romanciers, de photographes, d'aficionados, tous réunis pour parler de l'art de la tauromachie. Un ouvrage signé Atelier Baie en hommage à Jacques Maigne.
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Calendrier perpétuel accompagné d'observations en tous genres, brèves pratiques, astronomiques, météorologiques, de recettes ou de conseils culinaires pratiques relatifs à la saison. Petit atlas de poche, cet almanach peut vous servir de carnet de notes en tous genres.
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Ce livre regroupe une sélection de chroniques taurines écrites entre 2008 et 2012 et jamais éditées. Jacques Durand a été responsable de la chronique «Tauromachie» de Libération entre 1987 et 2012. Il a été rédacteur en chef des émissions Corrida sur Canal+, a collaboré au magazine taurin de France 3 Sud, Face au toril et co-fondateur de l'association Horchata de Chufa. Il a reçu le premier prix international de journalisme de Pampelune. Il publie désormais La page taurine aux éditions Atelier Baie.
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Arte, cono! ; flamenco, toros y ole
Jacques Durand, Jacques Maigne
- Atelier Baie
- 13 Avril 2015
- 9782919208302
Broderies et passerelles fleuries, évocations burlesques ou destins tragiques, à la rencontre de figures mythiques ou tombées dans l'oubli des tribus souvent picaresques qui ont fait et défait les légendes croisées de l'art du flamenco et des toros. On y croise des stars (Morante de la Puebla, Israel Galván, José Tomás ou Camarón de la Isla), des héros anciens (la dynastie Ortega de Cadix, Pastora Imperio, Rafael El Gallo) et pas mal d'exclus parfois pathétiques, tel Gabriel Macandé. Ce récit à deux voix, qui n'a rien d'un pèlerinage, évoque librement quelques éclats communs à ceux du toreo et du flamenco. En creux, ou en fanfare, un désir nécessaire, un fantasme assumé l'Espagne fantasque et foutraque, cruelle et inspirée.
«¡Arte, coño!»...
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Correspondance/correo
Jacques Durand, Luis francisco Espla
- Atelier Baie
- Carnets Taurins
- 2 Septembre 2016
- 9782919208449
Luis Francisco Esplá, le torero d'Alicante, et Jacques Durand, l'écrivain taurin languedocien, ont échangé en 1994 une correspondance épistolaire (à l'ancienne) qui, enfin exhumée, révèle d'authentiques trésors. À l'heure où les nuages s'amoncellent dans le ciel des toros, cet échange vif, drôle, grave, émouvant, sincère, lucide ou décapant est en soi, et pour longtemps, un témoignage rare sur les petits et grands mystères de la tauromachie.
Mais il ne s'agit pas seulement de cela. Les deux complices d'écriture nouent ici un dialogue de plus en plus exigeant et subtil, pulvérisent les clichés, devisent en profondeur, sourire en coin, et, à la manière de Maimonide et Averroes, affrontent l'énigme mots découverts.
¡En todo lo alto!
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«Le petit Morante venait à Séville avec son pére pour, des gradins du soleil, voir des corridas. Il faisait semblant de dormir dans ses bras pour qu'on ne lui fasse pas payer la place. Depuis on pressent que sa tauromachie a quelque chose à voir avec le sommeil ou la rêverie ou la torpeur.» Ou l'hallucination. Jacques Durand ne sait plus trop, et pour cause. Le 16 avril 1994, il avait découvert par hasard Jose Antonio, novillero anonyme, lors d'une corrida villageoise à Guillena, tout près de Séville. Deux oreilles, une queue et le sentiment d'avoir rêvé, déjà. Le gamin de La Puebla, tout en finesse, légèreté, pintureria, était, comment dire, ailleurs, différent. Unique. Le 23 mai 2010, à Nîmes, le petit José Antonio, devenu Morante de la Puebla, fait exploser l'arène comble autour d'une chaise et d'une faena tombées du ciel. Nouvelle queue. Nouveau mirage.
Entre ces deux moments de grâce, Jacques Durand renoue le fil d'une odyssée, esquisse le portrait d'un mythe, et dialogue avec Fernando Arrabal, zélote éperdu de l'ange de la Puebla. Arrabal dithyrambique?: Ni Morante, ni Morente : Morantissime de la Puebla...