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Jean Jacques Sempé
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En un volume de 80 pages, une compilation de dessins qui célèbrent l'amitié, avec tout le génie et l'humour de Sempé. «Gaies ou mélancoliques, en couleur ou en noir et blanc, avec ou sans légende, ses illustrations rendent une fois encore évidente la poésie du quotidien.», Le Figaro «L'humour de Sempé transcende les époques dans les grandes largeurs.» Libération
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En un volume de 80 pages, une compilation de dessins qui célèbrent la philosophie, avec tout le génie et l'humour de Sempé. «Gaies ou mélancoliques, en couleur ou en noir et blanc, avec ou sans légende, ses illustrations rendent une fois encore évidente la poésie du quotidien.», Le Figaro «L'humour de Sempé transcende les époques dans les grandes largeurs.» Libération
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Un peu de Paris est entièrement consacré à la capitale, mais vue avec l'humour et l'oeil inimitables de Sempé, où l'on retrouve, à travers les scènes et les lieux du Paris qu'il aime, toute la tendresse et l'ironie délicatement distanciée qui ont fait le succès des albums précédents.
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En un volume de 80 pages, une compilation de dessins qui célèbrent l'enfance, avec tout le génie et l'humour de Sempé. «Gaies ou mélancoliques, en couleur ou en noir et blanc, avec ou sans légende, ses illustrations rendent une fois encore évidente la poésie du quotidien.», Le Figaro «L'humour de Sempé transcende les époques dans les grandes largeurs.» Libération
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Raoul taburin, l'illustre marchand de cycles de saint-céron, cache un terrible secret : il n'a jamais réussi à tenir sur une selle.
Son talent de réparateur lui vaut cependant de solides amitiés : sauveur bilongue, vainqueur d'une étape du tour de france, le père forton qui lui cédera son fonds de commerce et surtout hervé figougne, le célèbre photographe. mais voilà que celui-ci demande à raoul de poser pour lui, à vélo, sur une route bordée de précipices.
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En un volume de 80 pages, une compilation de dessins qui célèbrent l'optimisme, avec tout le génie et l'humour de Sempé. «Gaies ou mélancoliques, en couleur ou en noir et blanc, avec ou sans légende, ses illustrations rendent une fois encore évidente la poésie du quotidien.», Le Figaro «L'humour de Sempé transcende les époques dans les grandes largeurs.» Libération
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Nouvelle édition augmentée
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Ces dessins sont extraits de divers albums : La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).
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Après avoir raconté son Amérique (Sempé à New York, 2010), évoqué l'insouciance de l'enfance (Enfances, 2011) et posé un regard sensible et délicat sur les relations humaines (Sincères amitiés, 2015), Sempé célèbre cette fois la musique et les musiciens. Dans ces conversations avec Marc Lecarpentier, il révèle sa passion pour le jazz, son amour pour Debussy, son admiration pour l'orchestre de Ray Ventura qui lui a «sauvé la vie». Dessinateur d'humour alors qu'il rêvait d'être pianiste, Jean-Jacques Sempé raconte ses dîners fantasmés avec Duke Ellington, Ravel, Debussy et Satie, son émotion devant le premier disque qu'il écoute dans une boutique à Bordeaux, son goût immarcescible pour les chansons de Paul Misraki ou Charles Trenet «qui touchaient à la grâce, avant que la légèreté devienne suspecte...». Ces dessins inédits rendent un hommage enjoué et admiratif aux musiciens professionnels ou amateurs, enfants débutants ou adultes émouvants.
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Marcellin Caillou aurait pu être un enfant très heureux comme beaucoup d'autres enfants. Malheureusement, il était affligé d'une maladie bizarre : il rougissait sans aucune raison et au moment où il s'y attendait le moins... Un jour qu'il rentrait chez lui en rougissant de temps en temps, il entendit dans l'escalier un bruit d'éternuement. C'était René Rateau, son nouveau voisin. Il était affligé d'une maladie curieuse : il éternuait souvent, sans jamais avoir été enrhumé...
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Après avoir évoqué son Amérique (Sempé à New York, 2010) et célébré l'insouciance de l'enfance (Enfances, 2011), Sempé s'interroge sur les différentes règles qui fondent le rapport amical. L'humour est là qui dissimule la gravité du propos, mais le constat est lumineux : entre vanité et prétention, l'amitié des adultes est fragile. Et parce que Sempé la place au plus haut des sentiments humains, il suggère qu'elle se nourrit surtout d'instants fugaces, rares et précieux. «Rien n'est facile en amitié. Il faut de la discrétion, de la pudeur, de la fidélité», confie Jean-Jacques Sempé dans la longue conversation avec Marc Lecarpentier qui accompagne ce livre. Preuve en est donnée dans les dessins, pour la plupart inédits, qui font sourire en offrant le reflet lucide des insondables mystères de nos émotions.
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Après Saul Steinberg et quelques autres, Jean-Jacques Sempé a hissé le dessin dit d'humour au rang de grand art :
Ses oeuvres sont exposées dans les galeries du monde entier et publiées dans de somptueux albums. Mais... comment l'auteur de Un peu de Paris dessine-t-il ? Comment surgissent ses idées ? Longtemps, il a tenu ses carnets, sinon secrets, du moins à l'abri des curieux. Publiés ici pour la première fois, ils constituent un témoignage inestimable de sa recherche, de son inspiration. On y découvre toute la grâce de sa spontanéité, toute la force de son expression. Des têtes, des corps, des décors, des objets familiers... À peine une esquisse d'un trait délicat au crayon ou à la plume, et tout est là. Nous sommes devant ce que le dessin a de plus fragile, de plus suggestif aussi. Rien ne semble dit, mais tout est dit, et nous laisse dans un état de rêverie absolu.
Deux cents dessins noir et blanc lèvent le voile sur les « secrets de fabrication » de l'un des plus grands dessinateurs de notre temps.
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Beaucoup connaissent le travail de Jean-Jacques Sempé grâce à ses albums ou ses publications régulières dans différents journaux français ou étrangers.
Peu savent que des centaines de dessins inédits demeurent dans les cartons de son atelier qui permettent de reconstituer l'étonnant parcours d'un travailleur opiniâtre.
Des griffonnages sur les papiers à en-tête de son employeur en 1950 aux premières ébauches signées DRO publiées dès 1950 dans SUD-Ouest, des premiers dessins signés Sempé dans Sud-ouest Dimanche à la naissance du Petit Nicolas dans Moustique, journal belge, de la chronique hebdomadaire dans L'Express ou Paris-Match aux dessins récents encore inédits, on suit avec passion le cheminement d'un talent qui se révèle et s'affirme au fil des ans.
Peu à peu, le trait sec et rugueux gagne en précision, en fluidité. Les gags habiles des débuts laissent place à un souci constant des détails et des décors.
Observateur déconcerté et amusé du monde qui l'entoure, le dessinateur en vient à ausculter, mine de rien, l'âme humaine en se jouant de la disproportion des situations, des rôles, des propos ou des pensées que tiennent ses personnages;
Au désir de faire rire de ses débuts, Sempé préfère peu à peu faire sourire en maniant la litote et la prétérition, avec pour seul souci « de trouver la note juste ».
Au fil des pages où pointe une mélancolie douce mais permanente, s'affirme clairement la personnalité d'un artiste dont chaque dessin livre une part de sa personnalité : « Je m'en aperçois des années après : je peux dessiner une vieille dame dans la rue ou sur un vélo, et ce peut être moi de façon déguisée. Parce qu'elle porte avec elle la même incertitude que je ressens chaque matin devant ma table de travail » Un livre à découvrir comme une autobiographie inconsciente...
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«Apparente dans ses sujets (le plus souvent des êtres qui ont ce point commun d'être timides, ou intimidés), la modestie de Sempé est profonde et peut-être constitutive. Il doit aimer ceux qu'il dessine parce qu'il se retrouve en eux, et ce qu'il en retrouve est une aimable défaillance un peu lunaire en présence des grands événements, qu'il s'agisse du conseil d'administration d'une banque ou de l'inauguration d'un monument, du bal du samedi soir ou d'une course cycliste. Partout, sous l'espèce d'un industriel ou d'une petite fille, d'un violoncelliste amateur ou d'une dame qui revient du marché, l'Homme de Sempé offre le spectacle d'un léger décalage entre ce qu'il croit être et ce qu'il est ou, au contraire, d'une adéquation un peu trop parfaite à son personnage. Et ce contraire n'en est donc pas un puisqu'on perçoit le trop. Ainsi l'Homme de Sempé se trouve-t-il toujours à côté de lui-même, sans toujours bien clairement le savoir, et c'est la source du comique indulgent qui nous le rend proche.» Jacques Réda.
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En 2001, Sempé publiait Un peu de Paris, recueil qui donnait de la capitale une vision empreinte de tendresse souriante et de nostalgie légère. La même démarche, la même approche président à l'inspiration des dessins réunis dans ce nouvel album où l'auteur (re)visite la France à sa manière, une France plus souvent rurale qu'il n'y paraît, et où il fait encore bon vivre à condition de savoir prendre son temps et de respirer à fond. Car Sempé est un authentique poète, même si son crayon forme plus volontiers des images que des phrases...
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«- Toujours le même rêve : Pelé feinte plusieurs adversaires, il passe le ballon à Platini qui, à son tour, me le donne dans l'excellentes conditions pour marquer le but. Je shoote de toutes mes forces. Ma femme, dans les buts, arrête le ballon d'une main, en ricanant.»
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Dans Enfances, Sempé s'attardait avec douceur et mélancolie sur le bonheur de l'insouciance. Avec son nouvel album Bourrasques et accalmies, il passe à l'âge adulte et le grand enfant qu'il est s'amuse à en croquer les contradictions. Entre bourrasques et accalmies donc, on retrouve, éclatante, la poésie de Sempé, ce rire nécessaire qui invite nos esprits (trop) sérieux à poser un regard différent sur le monde, les hommes et soi-même. Une véritable thérapie comme le dit Sempé : «Quand je me suis mis à dessiner, c'était peut-être une sorte de thérapie, j'ai eu envie de dessiner des gens heureux. De faire du dessin humoristique avec des gens heureux. Ce qui est de la folie. Mais c'est mon caractère.» Cent-vingt petites scènes savoureuses content ces éclaircies pendant la tempête quand chacun tente de maintenir le cap ou de le garder.
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Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Les musiciens (1979, 1996), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme & volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).
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