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Mêlant la fiction et la réalité, les anecdotes et les hauts faits, le sort des petites gens et le destin des grands personnages, Alexandre Najjar brosse le portait de sa ville et celui de sa famille sur trois générations.
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Dictionnaire amoureux : du Liban
Alexandre Najjar
- Plon
- Dictionnaire Amoureux
- 13 Novembre 2014
- 9782259219242
Alexandre Najjar fait voyager le lecteur dans l'espace et le temps et lui permet de découvrir un pays méditerranéen très attachant qui, malgré ses contradictions, a toujours été un symbole de liberté dans le monde arabe.
Au fil des siècles, le Liban a accueilli sur son sol plusieurs civilisations qui lui ont légué des vestiges archéologiques de première importance comme les temples de Baalbek, la citadelle de Byblos ou l'hippodrome de Tyr. J'ai voulu, à travers cet abécédaire, raconter ce qui constitue l'âme du Liban, loin de la politique et des querelles intestines, mettre en exergue son histoire, depuis les Phéniciens jusqu'à nos jours, décrire ses sites connus et méconnus, évoquer les personnalités qui l'ont visité et aimé, d'Alphonse de Lamartine à Ernest Renan, sans occulter les difficultés qu'il rencontre et ses contradictions. Kalil Gibran a écrit un jour : Si le Liban n'était pas mon pays, je l'aurais choisi pour patrie. Cette formule, je voudrais que chacun, en re fermant ce livre, puisse la faire sien ne. A.N.
Né à Beyrouth en 1967, Alexandre Najjar est l'auteur de trente livres traduits dans une dizaine de langues, dont Kadicha et Le Roman de Beyrouth (Plon, 2011 et 2005). Figure importante de la culture au Liban, responsable du supplément de L'Orient Littéraire, il a obtenu plusieurs prix, dont la bourse de l'écrivain de la Fondation Lagardère, le prix Méditerranée et le prix Hervé Deluen de l'Académie française pour son action en faveur de la francophonie. -
"La guerre du Liban a été pour moi un cauchemar, mais aussi - comment le nier ? - une école de vie. Hemingway disait que "toute expérience de la guerre est sans prix pour un écrivain". Je veux le croire. Sans la guerre, j'aurais été un autre homme. Toute ma vie, je regretterai sans doute de ne pas avoir eu une jeunesse paisible (j'avais huit ans quand la guerre a éclaté, vingt-trois lorsque le canon s'est tu).
Mais ces regrets, ces épreuves, m'ont donné du bonheur un autre goût", Alexandre Najjar.
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Le silence du ténor ; une enfance libanaise
Alexandre Najjar
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 21 Mars 2020
- 9791037107435
Un père, une mère, six enfants. Avocat réputé, ténor du barreau de Beyrouth, le père plaide avec une rare éloquence. Dans l'exercice de sa profession, la parole est d'or. Son travail est sa vie.
Il est craint, suit une discipline militaire, impose la gymnastique à ses enfants, les punit sévèrement lorsqu'ils transgressent les règles. Pourtant, derrière cette rigueur, se cache un homme affectueux, pétri d'humour, curieux de tout, à l'optimisme contagieux. Soudain, c'est le drame : le ténor est victime d'une attaque cardiaque. Il se retrouve sur une chaise roulante, privé de la parole qui a fait sa célébrité. Mais l'amour de sa famille et l'espoir vont l'aider à surmonter l'épreuve...
Dans un style limpide, à travers des séquences tantôt émouvantes, tantôt cocasses, Alexandre Najjar rend ici au père un merveilleux et bouleversant hommage.
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2020. Le coronavirus sème la mort, paralyse la planète tout entière et met l'économie mondiale à genoux...
Bouleversé par cette catastrophe, Gaudens, écrivain confiné, se téléporte en Chine, au Japon, en France, au Liban, en Italie, en Iran, en Espagne et aux États-Unis pour nous restituer des scènes de la tragédie vécue dans ces huit pays.
Tour à tour lanceur d'alerte chinois opposé aux mensonges des autorités, passager britannique prisonnier d'un navire de luxe, enseignante parisienne bouleversée par la contamination de sa mère, étudiant en cinéma enfermé à Milan, jésuite libanais révolutionnaire, médecin iranien confronté à un cas de conscience, médecin-éditeur engagé et créatif à Madrid ou encore journaliste américain féru de théories complotistes, Gaudens nous offre un panorama mondial du premier acte de cette pandémie, avec gravité ou dérision, dans ce qu'il dévoile de l'homme, de nos sociétés et de nos dirigeants.
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" - Dans notre travail, monsieur l'abbé, nous nous appuyons tout d'abord sur la rumeur, en partant du principe qu'il n'y a pas de fumée sans feu, puis nous l'étayons par des éléments de preuve réunis par nos soins.
- Et que dit la rumeur dans le cas de Baur ?
- Harry Baur a interprété des rôles de juifs dans plusieurs films, ce qui n'est pas anodin." Harry et Franz est le roman d'une rencontre inattendue entre l'un des plus grands acteurs français de l'entre-deux-guerres, Harry Baur, incarcéré et torturé par les nazis, et un aumônier allemand, l'abbé Franz Stock, qui assistait avec abnégation les prisonniers français.
Deux êtres d'exception, à la fois opposés et complices. Un hymne à la paix et à la fraternité à une époque où l'extrémisme, l'obscurantisme et l'arbitraire tenaient lieu de droit.
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Le philosophe Zénon n'a jamais caché ses origines phéniciennes. A Athènes où il a fondé l'école des stoïciens, il raconte à son disciple Apollonios la tragédie de sa mère, une Tyrienne prénommée Elissa. La jeune femme accompagne son oncle dans un long périple qui lui permet de découvrir les comptoirs phéniciens qui jalonnent la côte méditerranéenne. A son retour, Tyr, sa ville natale, se retrouve assiégée par l'armée d'Alexandre le Grand dont l'ambition est d'annexer tous les ports de Phénicie. La résistance s'organise. Les Phéniciens refusent l'occupation, multiplient les stratagèmes pour venir à bout de leur ennemi et, durant sept mois, vont se battre avec l'énergie du désespoir. Ils n'ignorent pas que le devenir même de leur civilisation est en jeu. A travers les récits croisés de l'assiégeant et de l'assiégé, Alexandre Najjar nous propose une double perspective du siège de Tyr, en même temps qu'une métaphore du Liban, pays meurtri avide de liberté.
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« Je n'ai pas fui, je me suis sauvée. » Confinée dans un hôtel à Saint-Malo, Amira Mitri, ancienne combattante devenue reporter au quotidien libanais An-Nahar, rescapée de l'explosion du port de Beyrouth, rassemble ses souvenirs, depuis son retour au Liban en l'an 2000, à l'orée d'un nouveau siècle, jusqu'à la tragédie du 4 août 2020. Durant cette période de vingt années, les événements se sont succédé : bien des vicissitudes ont secoué le pays du Cèdre, et sa vie amoureuse a connu de multiples rebondissements. Avec lucidité et franchise, elle se confie, sans mâcher ses mots.
Un livre foisonnant, dans la veine du Roman de Beyrouth, où se mêlent habilement fiction et réalité, aventures et réflexions politiques, héros imaginaires et personnages célèbres, pour nous dévoiler l'âme d'une femme et celle d'une ville, Beyrouth, sans cesse malmenée, mais toujours debout.
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Qui est Mouammar Kadhafi ? Enfant terrible du nationalisme arabe, "roi des rois d'Afrique", sponsor officiel du terrorisme, bouffon ou psychopathe ? Que sait-on de ce personnage qui occupe la scène politique depuis quarante-deux ans ? Comment est-il arrivé au pouvoir ? Qui se cache derrière cet étrange "Guide de la révolution" qui se déguise volontiers et parade au milieu de ses amazones ? Comment, après les attentats dont il a été accusé, a-t-il pu regagner la confiance du monde occidental ? Et pourquoi, tout à coup, est-il redevenu un paria ? Cet essai biographique reconstitue l'itinéraire de Kadhafi depuis sa naissance sous une tente en Libye jusqu'à la répression sanglante de son propre peuple et l'opération "Aube de l'odyssée" avalisée par l'ONU.
Il nous dévoile toutes les facettes de ce colonel aussi ubuesque que sanguinaire, et nous prouve à quel point le dictateur libyen ressemble à ses sinistres devanciers : Hitler, Mussolini ou Amin Dada... Il fallait tout le talent d'Alexandre Najjar pour bien camper ce personnage de roman qui défie la raison et dépasse l'imagination.
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Jean-Baptiste est sans doute l'un des personnages les plus marquants de la Bible. Partout, églises et musées exposent des oeuvres qui le représentent et nombre de villes - comme Québec, Florence ou Turin - l'ont choisi comme saint patron. Pour les chrétiens, ce prophète, considéré comme le précurseur et premier témoin du Christ, se situe à l'orée du Nouveau Testament : c'est lui qui baptise Jésus, «le Fils bien-aimé» de Dieu, marquant ainsi le commencement de sa mission divine. Que sait-on de lui ? Ce livre retrace, à travers le récit des Evangiles mais aussi à travers la littérature et l'iconographie, la vie de ce fils du désert, évoque les possibles influences de Qumrân sur son ministère et l'originalité de son baptême, analyse son message et ses rapports avec Jésus, et se penche sur l'énigme de sa mort tragique réclamée par Hérodiade et la belle Salomé... Personnage puissamment évocateur, saint Jean-Baptiste est porteur de la Bonne Nouvelle. Sa voix a survécu à l'oubli : elle ne crie plus dans le désert.
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un père, une mère, six enfants.
avocat réputé, ténor du barreau de beyrouth, le père plaide avec une rare éloquence. dans l'exrcice de sa profession, la parole est d'or. son travail est sa vie. il est craint, suit une discipline militaire, impose la gymnastique à ses enfants, les punit sévèrement lorsqu'ils transgressent les règles. pourtant, derrière cette rigueur, se cache un homme affectueux, pétri d'humour, curieux de tout, à l'optimisme contagieux.
soudain, c'est le drame: le ténor est victime d'une attaque cardiaque. il se retrouve sur une chiase roulante, privé de la parole qui a fait sa célébrité. mais l'amour de sa famille et l'espoir vont l'aider à surmonter l'épreuve.
dans un style limpide, à travers des séquences tantôt émouvantes, tantôt cocasses, alexandre najjar rend ici au père un merveilleux et bouleversant hommage.
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Ce roman est celui d'un événement : les jeux Olympiques de Berlin, organisés par le Ille Reich en 1936. Autour de cette manifestation gravite une foule de personnages : le Führer, bien déterminé à leurrer le monde en montrant un masque pacifique de l'Allemagne ; Jesse Owens, l'athlète noir qui défiera les Nazis et leurs théories racistes en remportant quatre médailles d'or ; les ministres Goebbels et Gering, qui déploient mille stratagèmes pour instrumentaliser les jeux ; le baron Pierre de Coubertin, icône déchue qui se fourvoie en soutenant les organisateurs ; Leni Riefenstahl, l'égérie du Reich, cinéaste exigeante et capricieuse chargée de fixer sur pellicule la spectaculaire mise en scène de l'événement ; Oskar Widmer, un pianiste de jazz qui, tant bien que mal, résiste à la déferlante nazie ; Pierre Gemayel, un jeune Libanais de passage, qui découvre avec étonnement l'envers du décor ; enfin Claire hagarde, une courageuse journaliste française qui, en décrivant les jeux, va rencontrer l'amour... Dans un roman foisonnant, Alexandre Najjar met habilement en scène ces personnages, réels pour la plupart, fictifs pour quelques-uns, afin de nous raconter, comme une valse à trois temps, les jeux Olympiques de Berlin.
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Une mère libanaise.
" Maman, Mama, Mimo, Mimo sa...
Je ne sais plus si c'est ainsi que j'en suis arrivé à t'appeler Mimosa, ce surnom qui te va si bien, toi la passionnée de plantes qui, l'été venu, veillais avec amour sur les rosiers du jardin. Peu à peu, ton surnom est devenu ton prénom.
Tu me dis, Mimosa, que tu as tout oub lié, que la guerre t'a volé ta mémoire. Je m'aperçois, quand je discute avec toi, que tes souvenirs sont intacts, mais qu'il faut aller les cher cher en profondeur pour les remonter à la surface - un peu comme des épaves. " Dans ce récit court, fait de souvenirs à la fois drôles et émouvants, Alexandre Najjar revient sur la figure de sa mère alors qu'elle vit ses derniers jours. L'enfance, l'éducation, la transmission, la guerre du Liban et bien sûr l'amour sont au coeur de ce livre au charme indicible. -
Les anges de Millesgarden ; récit d'un voyage en Suède
Alexandre Najjar
- Gallimard
- Le Sentiment Geographique
- 3 Octobre 2013
- 9782070142231
Fruit d'un voyage à Stockholm et à Göteborg, ce récit nous livre les premières impressions d'un écrivain libanais parachuté dans un monde situé aux antipodes du sien. Avec érudition et humour, l'auteur nous décrit la Suède dans tous ses états, nous parle des Suédois et de leurs coutumes surprenantes, et met en exergue les différences qui séparent le Liban et la France de cette planète étrange. Plus d'une fois, le narrateur rencontre des anges. Comment s'en étonner dans un pays considéré comme un paradis?
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Le censeur de Baudelaire ; Ernest Pinard (1822-1909)
Alexandre Najjar
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 27 Janvier 2011
- 9782710367031
"Voilà une biographie à la fois inattendue, brillante et bienvenue. [...] Ernest Pinard, qui en est l'objet, fut un procureur soumis en tous points à l'ordre social de son temps, un ministre de l'Intérieur somme toute médiocre, et sa postérité, à vrai dire, n'avait jamais encore interpellé quiconque. [...] On eût été tenté de rejeter d'emblée le souvenir d'un homme qui eut pour titre de gloire - ou, à tout le moins, pour chemin vers la notoriété - de faire condamner Flaubert, Baudelaire et Eugène Sue, qui s'opposa à l'érection des statues de Baudin et de Voltaire, et eut maille à partir avec Zola. Excusez du peu !
[...] Au travers du destin d'un homme, on traverse une époque, les yeux et les oreilles aux aguets. On voit s'achever la monarchiede Juillet, avec ses fausses certitudes, s'édifier la Deuxième République, celle de toutes les ambiguïtés, vivre le Second Empire, avec ses contradictions si souvent fécondes, s'improviser la Troisième République avec l'entrelacis de ses arrière-pensées.
Nul ne pourra plus écrire sur le Second Empire sans tenir compte de la contribution d'Alexandre Najjar. C'est le témoignage à lui rendre. » Extrait de la préface.
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Raconte le destin de K. Gibran, l'auteur du«Prophète»né au Liban en 1883. De religion chrétienne, il fut élevé dans la tolérance religieuse et resta très marqué par l'Islam et les religions de l'Inde. Pour fuir la misère, il émigra aux Etats-Unis où il fut d'abord peintre, puis se consacra à la poésie et l'écriture.
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A l'heure où les chrétiens d 'Orient, persécutés ou pris dans la tourmente des révolutions arabes, se cherchent et s'interrogent sur leur devenir, Alexandre Najjar leur consacre ce beau roman qui nous raconte leurs racines, leur spiritualité et leur résistance.
Banquier à Beyrouth, Sami Rahmé décide, sur un coup de tête, de tout quitter pour aller vivre à proximité de la Kadicha, la vallée sainte, l'un des hauts lieux spirituels de la chrétienté en Orient. Quand son ancienne amie française, Florence, reporter à Libération, quitte en catastrophe la Syrie en révolte pour échouer au Liban, il trouve l'occasion de renouer avec elle et de l'initier à la vie paisible qu'il a choisi de mener. Ensemble, guidés par Kennedy, un aventurier érudit, ils explorent cette vallée et découvrent les personnages pittoresques qui y ont vécu : Sarkis Rizzi, qui se ruina pour installer une imprimerie au monastère de Kozhaya ; le patriarche Louqa qui, réfugié dans une grotte, résista longtemps aux mamelouks ; Marina, qui se déguisa en homme pour entrer au couvent ; François de Chasteuil, qui abandonna sa famille à Aix pour devenir ermite au Mont-Liban ; le poète Gibran, qui puisa son inspiration dans cet univers merveilleux...
Un beau roman où découverte, histoire, aventure, spiritualité et passion se mêlent dans un voyage initiatique, dans l'espace et le temps, sur les traces des chrétiens d'Orient. -
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Le procureur de l'empire ernest pinard 1822-1909
Alexandre Najjar
- Balland
- Domaine Francais Balland
- 4 Avril 2001
- 9782715813502
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Raconte le destin de K. Gibran, l'auteur du«Prophète»né au Liban en 1883. De religion chrétienne, il fut élevé dans la tolérance religieuse et resta très marqué par l'Islam et les religions de l'Inde. Pour fuir la misère, il émigra aux Etats-Unis où il fut d'abord peintre, puis se consacra à la poésie et l'écriture.
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L'homme de la providence ; Abouna Yaacoub
Alexandre Najjar
- L'Orient Des Livres
- 7 Janvier 2013
- 9789953579306
Le père Jacques, également appelé Abouna Yaacoub, fut un prêtre d'exception. Né à Ghazir, au Liban, dans une famille maronite, il devint Capucin. Ardent défenseur de la Croix, missionnaire et pédagogue, il sillonna le pays du Cèdre pour éduquer, prêcher et convertir. Grand bâtisseur, il créa plusieurs écoles, l'hôpital psychiatrique de la Croix, l'hôpital Saint-Joseph, un hospice pour les vieux prêtres et fonda l'une des plus importantes congrégations religieuses du Proche-Orient - celle des Franciscaines de la Croix du Liban. Quand on lui demandait son secret, il affirmait : « La banque de la Providence ne fait jamais faillite ! » Homme de foi et d'action, celui qu'on considère comme le Saint Vincent de Paul libanais a été proclamé « Vénérable » par le Pape Jean-Paul II et « Bienheureux » par le Pape Benoît XVI. Sa vie et son message continuent de guider des millions de fidèles au Liban et dans le monde.
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Ces six mélodies, qui constituent un ensemble, sont un hommage au Liban et à sa culture. Écrites sur des poèmes d'Alexandre Najjar, elles se caractérisent par une ligne vocale conçue dans un strict respect de la prosodie française et des courbes musicales épousant les inflexions de la langue parlée. Ces poèmes d'amour, qui deviennent par transposition musicale des chants d'amour, existent en deux versions : voix et piano, et voix et orchestre. L'oeuvre est dédiée à Naji Hakim en témoignage de respect et de reconnaissance. Ces Six chants d'amour, dans leur version orchestrale, ont été interprétés pour la première fois le 18 mars 2016 en l'église Saint-Joseph des pères jésuites à Beyrouth par la soprano Clémentine Decouture, accompagnée de l'Orchestre philharmonique du Liban dirigé par Harout Fazlian.