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jacques durand
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Las cinco menos cinco
Christophe Chay, Jacques Durand, Blaise Volckaert
- PASSIFLORE
- 2 Septembre 2024
- 9782379461255
Le monde de la tauromachie se décline entre la beauté sauvage du campo où grandissent en quasi-liberté les toros braves et l'extraordinaire scène des arènes où un torero vient les défier...
Dans les élevages, sur la piste et dans les coulisses, Blaise Volckaert a fondu son objectif dans le décor d'ombres et de lumières pour saisir le plus respectueusement la solennité du mystère taurin et l'art qui le porte. Un noir et blanc puissant qui trouve une illustration narrative dans les histoires de corridas contées par Christophe Chay et Jacques Durand.
D'Arles à Nîmes, en passant par Istres, Mauguio, le campo de Crau et des Alpilles, Las cinco menos cinco immerge le lecteur à cinq minutes du début de la corrida avant d'y entrer de plain-pied, porté par la puissance de ses acteurs et de leurs rituels. -
Un beau livre de Jacques Durand contenant 82 chroniques, un cahier d'illustrations et surtout l'amour du Toros. On y retrouve les oeuvres de poètes, de philosophes, de peintres, de toreros, de romanciers, de photographes, d'aficionados, tous réunis pour parler de l'art de la tauromachie. Un ouvrage signé Atelier Baie en hommage à Jacques Maigne.
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L'empègue : art populaire/contemporain : histoire & territoire
Claude Dubois, Jacques Durand, Jean Rouy, Frédéric Saumade, Clément Serguier
- A L'Asard Bautezar
- 15 Novembre 2024
- 9791094199268
Sous le signe de l'hospitalité, des icones identitaires, les « empègues », ornent portes et façades d'un habitat languedocien. Représentations collectives de la jeunesse, fervente de la Bouvino, ces insignes imagés témoignent d'une belle fidélité et d'une longue mémoire.
Près de quarante villages sont recensés dans cette approche patrimoniale, au coeur de la Petite Camargue, entre Le Vistre et le Vidourle, avec le rituel des Aubades suivi du marquage au pochoir. À partir des cartes, archives, documents et d'une riche iconographie, les auteurs relatent l'expression d'un art populaire et contemporain. (360 illustrations). -
Après « Gueules de Toreros » Blaise Volckaert pour la photographie et Jacques Durand pour le texte continuent de scruter et d'interroger le monde fascinant des toreros à travers son intimité, sa pratique, ses personnages, ses attitudes, ses moments forts, ses instants fugaces, ses histoires, les gestes qui en disent la singularité. C'est une exploration. Elle avance avec ce double regard complémentaire des images et des mots. Elle a pris pour titre « Tabaco y Oro ». Tabac et or est la couleur de costumes de lumières considérée comme la plus authentique, la plus porteuse des valeurs taurines. Valeurs qu'incarnait l'extravagant matador mexicain El Pana, mis en hommage en couverture, tué par un toro en 2016, et qui pouvait fumer le cigare en piste.
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À la fin de chacune de ses saisons taurines, Maxime Ducasse a livré sur le papier ce qui ne se raconte pas, une vision intime, un journal de route personnel, aujourd'hui dévoilé.
« Les clopes, les stations-service, le café, la route, la nuit, le toro qui a fait ci, qui a fait ça, le fumet de la corrida passée qui a du mal à s'évaporer : voilà, un texte, des textes, qui balancent un peu de flashs lumineux sur ce monde obscur, clos sur lui-même, sur ce quotidien si peu doué pour le quotidien, si peu fait pour les affaires courantes, les nôtres...
Ce témoignage subjectif, volontairement « perso », plus allusif que documentaire, c'est celui de Maxime Ducasse, torero. Cette immersion dans cet univers, sauf erreur de ma part, on n'en connaît pas d'autres exemples. ». -
L'habit de lumières : voyage en tauromachie
Jacques Durand, Jacques Maigne
- Au Diable Vauvert
- 26 Août 2021
- 9791030704372
Récit de voyage et morceau d'histoire, l'ouvrage incontournable de deux grandes plumes du monde taurin, enfin réédité.
D'entretiens avec les plus grands en conversations avec les plus humbles, de longues promenades dans Séville aux villages andalous creusets de la tauromachie, des bars taurins incontournables aux visites chez les éleveurs, deux auteurs complices jettent une lumière éclairante sur le monde taurin à la fin du siècle dernier, de la mort du maestro Francisco Paquirri à l'époque de Paco Ojeda.
Un merveilleux voyage initiatique.
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" L'inquiétude, l'impatience, le stress, le défi, l'arrogance, le soulagement, le quant-à-soi torero, l'impassibilité arrachée à d'intenses sensations, le scepticisme, la joie, le courage recyclé en colère, l'enthousiasme, la lassitude, les photographies de Blaise Volckaert mettent en lumières cet arc-en-ciel d'émotions qui traverse ces hommes au moment où le toro passe en eux, les obscurcit comme un nuage ou les éclaire comme un soleil. Au moment où, sur leurs traits, s'imprime son discours. Ce qu'il dit, ces visages le réverbèrent. " (Jacques Durand).
" Les toreros sont des créateurs d'art éphémère qui dessinent leurs histoires dans la toile d'un capote ou d'une muleta, transformés pour l'occasion en gladiateurs des temps modernes... La quête de l'émotion taurine est un moment unique pour qui approche ces hommes sortis d'un autre âge, au détour d'un amphithéâtre romain ou d'une chambre d'hôtel. Prêter mes images au talent et à l'espièglerie, pour des textes inédits de Jacques Durand, figura de la littérature taurine, est un pur plaisir d'aficion... " (Blaise Volckaert).
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Jean Sulpice ; le chef, l'auberge et le lac
Jacques Durand, Jean Sulpice
- Glénat
- Le Verre Et L'Assiette
- 9 Septembre 2020
- 9782344038444
Trois passions animent Jean Sulpice : la montagne, la gastronomie et le sport. Il les traduit dans une cuisine audacieuse, toute de fraîcheur et d'équilibre. C'est au bord du lac d'Annecy, dans le cadre enchanteur de l'Auberge du Père Bise, que ce chef doublement étoilé au Guide Michelin et Cuisinier de l'année 2018 au Gault&Millau donne libre cours à son goût de la nature et à sa maîtrise créative.
On fait beaucoup plus que manger chez Jean Sulpice à l'Auberge du Père Bise à Talloires (Haute-Savoie). On s'immerge dans son univers peuplé d'eaux vives, de montagnes, de forêts, de crêtes et de combes où les paysages apparaissent comme au premier matin du monde.
Car ce chef est le passeur hors normes de tout ce que la nature nous offre : plantes et fleurs sauvages, champignons, poissons, fruits et légumes sont les hôtes privilégiés de ses fourneaux. Il les traite avec le respect et le talent de celui qui sait depuis l'enfance tout ce que l'homme doit à sa terre. Sans jamais se fourvoyer car Jean Sulpice aime trop la nature pour la travestir. Il s'emploie chaque jour à la sublimer dans l'assiette en parcourant dès l'aube les verts alpages en été et la blancheur immaculée de la montagne en hiver. Il sait aussi l'essentialité de ses producteurs, maraîchers, éleveurs, fromagers, cueilleurs, pêcheurs à qui il rend un vibrant hommage gustatif à travers ses recettes. Ainsi sa créativité est ancrée dans le vivant, parmi les hommes et les paysages que ce livre vous propose de rencontrer et de parcourir.
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« Les voitures de fêtes votives n'ont pas la prétention d'être un objet sacré, par contre, de sacrés objets, ça, oui, elles le sont. Pendant huit, neuf, dix jours de bamboula villageoise en Petite Camargue elles passent de l'état de citrouille, mot où s'entend et se présage un avenir de rouille et de rouillé, à celui de carrosse, mais de carrosse bien roturier et passablement engrunè. ».
Jacques Durand.
Préfacé par Jacques Durand, illustré par Eddie Pons, raconté par Frédéric Saumade, un siècle d'histoire camarguaise inédite d'une tradition unique en plus de cent photos rassemblées par Numa Grenan.
Un album d'ethnologie camarguaise, hommage décalé à toutes les bandes de jeunes de Petite Camargue qui ont fait vivre la fé di biou -
Enfin rééditée, l'autobiographie du grand raseteur Jacky Simeon, légende des arènes camarguaises.
Une carrière brisée par les cornes du taureau Vidocq, qui lui arracha la fémorale dans les arènes d'Arles.
Au printemps 1973, les frères Simeon embrasent les arènes de Pérols à Mauguio, Saint-Rémy-de-Provence, Marsillargues, Sommières, Lunel, aux Saintes-Maries-de-la-Mer, à Beaucaire, Châteaurenard et Saint-Christol. Ils sont trois, Jean-Pierre, Raymond et surtout Jacky, qui électrise la bouvine d'audaces jamais vues.
Car il possède ce que les taureaux ont parfois : la caste. Le pouvoir de se surpasser, passer de la mesure à la démesure.
Un courage impassible et modeste qui lui fait approcher des terrains inconnus. Pendant près de vingt ans, accumulant les plus prestigieux trophées de la spécialité, il s'impose par la bouleversante loyauté de son raset et par la chance qu'il laisse aux cocardiers de l'attraper. Dans cette culture qui sanctifie le taureau, il déchaîne les passions, admiré comme un grand torero.
Son autobiographie, enfin rééditée, raconte cette histoire légendaire, une vie de héros, et la terrible blessure qui aurait dû lui coûter la vie et le laissa presque mort.
L'écrire le sauvera, en nous offrant un témoignage unique.
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Parvenue au sommet du classement mondial en seulement cinq saisons, un exploit encore jamais réalisé, Lea Vicens est la nouvelle révélation de la tauromachie à cheval.
Torera d'époque, elle réunit la grâce et l'équilibre de l'équitation éthologique dessinée par un Chris Irwin, et l'interprétation la plus pure de l'équitation espagnole transmise par son maitre Angel Peralta.
Fille d'une enseignante de littérature et d'un père aficionado nîmois, elle monte à cheval dès sa quatrième année et se distingue adolescente en compétition d'équitation camarguaise.
Elle découvre dans les arènes de Nîmes l'équitation espagnole et la tauromachie à cheval, et alors qu'elle prépare une licence de biologie, son chemin va croiser celui d'Angel Peralta, qui l'engage pour dresser ses chevaux.
C'est expatriée en Andalousie à La Puebla del Rio, où elle s'entraîne pendant dix ans, qu'à force de travail, d'abnégation et de courage, elle recevra du grand maître andalou les enseignements qui vont fonder sa réussite et imposera son ambition et son style.
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" Rafael et Gallo est un torero de l'irréparable, lumineusement insondable, un déserteur de première bourre, une comète inintelligible échappant à l'astrophysique et aux télescopes, un fervent de la dislocation, un hardi du sauve-qui-peut. Sa propre caricature. " Dans les toutes premières années du vingtième siècle, l'Espagne, orpheline de son empire d'au-delà des océans, se choisit comme idole un matador sévillan imprévisible, chauve et dilettante, dont la carrière et la vie hésitèrent jusqu'au bout entre le sublime et l'absurde. Il fallait la langue riche et imagée de Jacques Durand pour restituer magnifiquement la personnalité hors du commun de cet artiste humble et fantasque, mais aussi la joie nostalgique de la capitale andalouse du début du siècle dernier, toute la poésie romantique d'un monde enfui.
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En 2008 josé tomas n'a pas réalisé une saison.
Non. il a fait des apparitions. malaga, cuenca, le puerto de santa-maria, almeria, salamanque, murcie, etc. les fidèles de son évangile diront qu'ils s'agissait d'épiphanies. des épiphanies entre les coups de corne. josé tomas a pour habitude de sortir par les deux portes qui sanctifient les toreros. celle, la grande, des triomphes sonores, celle, petite mais aussi grande, des chuchotis de l'infirmerie.
Le royaume de josé tomas s'est donc bâti cette année entre le hosanna et les cathéters, les olés et le chant des sirènes d'ambulance. le clameur a été sa musique, le no hay billetes son communiqué de guerre. les 5 et 15 juin à madrid, le 21 septembre à barcelone sa muleta a martelé sa propre légende. ceux qui y étaient continuent à s'en frotter les yeux. ceux qui n'y étaient pas continuent à s'en mordre les lèvres.
Les deux n'oublieront pas de sitôt qu'ils y étaient ou qu'ils n'y étaient pas.
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Calendrier perpétuel accompagné d'observations en tous genres, brèves pratiques, astronomiques, météorologiques, de recettes ou de conseils culinaires pratiques relatifs à la saison. Petit atlas de poche, cet almanach peut vous servir de carnet de notes en tous genres.
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6 cargos noirs : Nimeno II
Jacques Durand, Nicolas Rivière, François Bruschet
- Atelier Baie
- Carnets Taurins
- 4 Juin 2025
- 9782919208913
... cette corrida exceptionnelle de la Pentecôte, hors-norme, bouleversante par plusieurs aspects, allait marquer à jamais la mémoire de ceux qui, entre l'admiration, la peur, l'angoisse, l'enthousiasme, les rafales de vent, les chouchous caramélisés qu'on oublie d'engloutir, la virent avec ce sentiment qu'une vérité éthique de la tauromachie se jouait sous leurs yeux dans ce qui était plus qu'un jeu. Jacques Durand
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Correspondance/correo
Jacques Durand, Luis francisco Espla
- Atelier Baie
- Carnets Taurins
- 2 Septembre 2016
- 9782919208449
Luis Francisco Esplá, le torero d'Alicante, et Jacques Durand, l'écrivain taurin languedocien, ont échangé en 1994 une correspondance épistolaire (à l'ancienne) qui, enfin exhumée, révèle d'authentiques trésors. À l'heure où les nuages s'amoncellent dans le ciel des toros, cet échange vif, drôle, grave, émouvant, sincère, lucide ou décapant est en soi, et pour longtemps, un témoignage rare sur les petits et grands mystères de la tauromachie.
Mais il ne s'agit pas seulement de cela. Les deux complices d'écriture nouent ici un dialogue de plus en plus exigeant et subtil, pulvérisent les clichés, devisent en profondeur, sourire en coin, et, à la manière de Maimonide et Averroes, affrontent l'énigme mots découverts.
¡En todo lo alto!
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«Le petit Morante venait à Séville avec son pére pour, des gradins du soleil, voir des corridas. Il faisait semblant de dormir dans ses bras pour qu'on ne lui fasse pas payer la place. Depuis on pressent que sa tauromachie a quelque chose à voir avec le sommeil ou la rêverie ou la torpeur.» Ou l'hallucination. Jacques Durand ne sait plus trop, et pour cause. Le 16 avril 1994, il avait découvert par hasard Jose Antonio, novillero anonyme, lors d'une corrida villageoise à Guillena, tout près de Séville. Deux oreilles, une queue et le sentiment d'avoir rêvé, déjà. Le gamin de La Puebla, tout en finesse, légèreté, pintureria, était, comment dire, ailleurs, différent. Unique. Le 23 mai 2010, à Nîmes, le petit José Antonio, devenu Morante de la Puebla, fait exploser l'arène comble autour d'une chaise et d'une faena tombées du ciel. Nouvelle queue. Nouveau mirage.
Entre ces deux moments de grâce, Jacques Durand renoue le fil d'une odyssée, esquisse le portrait d'un mythe, et dialogue avec Fernando Arrabal, zélote éperdu de l'ange de la Puebla. Arrabal dithyrambique?: Ni Morante, ni Morente : Morantissime de la Puebla... -
L'importance de jacques durand, et ce pour quoi on ne le remerciera jamais assez, c'est d'avoir installé dans la langue française les questions fondamentales de la tauromachie.
Ce qu'il nous a amené, à nous qui ne sommes ni toreros, ni éleveurs, ni écrivains, juste des badeurs acharnés, c'est une langue qui traduise enfin la joie et la grandeur des émotions que nous ressentons dans les arènes. en s'appuyant sur deux principes: les histoires, petites et grandes, qu'il va pêcher dans les fonds de mémoire, et qu'il conte avec un talent précieux, et sa capacité magique à faire passer, dans la langue même, le grand souffle du mystère taurin.
Des histoires, il y en a plein les pages - comme on dit plein les yeux - de ce livre qui salue les vingt années de la route des toros suivie passionnément, mais tranquillement, par jacques durand. au fond, ce n'est pas un album, c'est le fond des poches de jacques qui nous est ici entrouvert: ses photos, ses notes d'hôtel ou de restaurant, toute la petite quincaillerie du souvenir superbement mise en page et oú se découvre en prime le courrier des lecteurs de libération, haineux ou drôle, les collections de billets, de rencontres, le petit bout de toile jaune de la doublure de la dernière muleta de josé tomas avant sa retirada, offert par zocato, ou un parte medical de l'infirmerie de l'arène de cordoue.
C'est un livre magnifique, qui résonne des fureurs, des joies et des peines, des fumées, des frôlements de la soie des capes de paseo, des odeurs de viande rôtie, des vins, rouges de rioja, ou blancs de sanlucar, de l'odeur âcre des rendez-vous ratés. ou pas. c'est un chant pour la route des toros, celle qui s'ouvre à nouveau devant nous, chaque fois, dans les étés qui commencent.
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Toros ; la tauromachie dans l'art populaire
Jacques Durand
- Gaussen
- Les Musees De L'imaginaire
- 26 Mars 2010
- 9782356980175
Depuis qu'elle existe, la corrida alimente l'imagerie populaire.
Tous les supports lui sont bons : gravures, BD, publicité, objets souvenirs, cartes postales, boîtes d'allumettes, bagues de cigare, affiches de cinéma, assiettes peintes, partitions de musique, jeux, emballages, poupées etc. Dessus, la corrida y déploie le grand éventail d'histoires, de fables, d'explications qui la traversent. Corrida comique, tragique, sérieuse, pour rire, érotique, sauvage, cruelle, sublime, admirable, fantaisiste, fantastique, sophistiquée, sommaire, haïssable, passionnelle.
Depuis des années, le peintre Claude Viallat collectionne, sans en écarter un, tous ces supports, riches ou modestes, sur quoi s'inscrit le combat d'un homme avec un toro et les sentiments, contradictoires, qu'il inspire. Sa collection, la plus riche au monde (environ 17 000 pièces à ce jour), et dont une partie est présentée dans cet ouvrage, donne à voir, l'étendue, la variété, l'infinie richesse de cette imagerie, sa créativité, sa puissance populaire.
Le toro est sauvage, le toro est gentil, le toro est bienfaisant, le toro est rigolo, le toro fait vendre du cirage, le toro fait peur, le toro est courageux. Le torero est un héros, le torero a peur, le torero est un séducteur, le torero est une femme, le torero joue, le torero est un souvenir, le torero meurt... Le combat et le public. Les étapes du combat, l'orthodoxie, la corrida délirante, le public absent, présent, connaisseur, stupide, en colère, acteur de la corrida, contre la corrida.
Ce sont tous ces aspects que donne à voir le présent ouvrage, écrit par l'un des meilleurs connaisseurs actuels de cette culture.
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Chaud devant ! ; Nîmes et ses garrigues ; recettes de bouche à oreille
Jacques Durand
- Edtions Flamant
- 15 Mai 2007
- 9782952236126
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Ce livre regroupe une sélection de chroniques taurines écrites entre 2008 et 2012 et jamais éditées. Jacques Durand a été responsable de la chronique «Tauromachie» de Libération entre 1987 et 2012. Il a été rédacteur en chef des émissions Corrida sur Canal+, a collaboré au magazine taurin de France 3 Sud, Face au toril et co-fondateur de l'association Horchata de Chufa. Il a reçu le premier prix international de journalisme de Pampelune. Il publie désormais La page taurine aux éditions Atelier Baie.
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José Tomâs s'appelle de son vrai nom José Tomâs Roman. Et c'est presque trop beau pour être vrai. Car sa tauromachie est comme littérature : elle donne à voir plus qu'elle ne montre.
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Arte, cono! ; flamenco, toros y ole
Jacques Durand, Jacques Maigne
- Atelier Baie
- 13 Avril 2015
- 9782919208302
Broderies et passerelles fleuries, évocations burlesques ou destins tragiques, à la rencontre de figures mythiques ou tombées dans l'oubli des tribus souvent picaresques qui ont fait et défait les légendes croisées de l'art du flamenco et des toros. On y croise des stars (Morante de la Puebla, Israel Galván, José Tomás ou Camarón de la Isla), des héros anciens (la dynastie Ortega de Cadix, Pastora Imperio, Rafael El Gallo) et pas mal d'exclus parfois pathétiques, tel Gabriel Macandé. Ce récit à deux voix, qui n'a rien d'un pèlerinage, évoque librement quelques éclats communs à ceux du toreo et du flamenco. En creux, ou en fanfare, un désir nécessaire, un fantasme assumé l'Espagne fantasque et foutraque, cruelle et inspirée.
«¡Arte, coño!»...
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