Sciences humaines & sociales
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La conquête de la liberté : De Mirabeau à Mitterrand ; Le roman de la France
Laurent Joffrin
- Tallandier
- Histoire
- 29 Août 2024
- 9791021041325
Au moment où les dictatures menacent une Europe incertaine et où les populismes ne cessent de gagner en puissance, Laurent Joffrin nous rappelle que l'histoire de France, c'est l'histoire des libertés.
Pour comprendre comment la liberté, toujours hésitante et fragile, est devenue une valeur fondatrice de notre identité, il faut remonter le fil de cette incroyable saga, digne d'un roman d'aventures. Le roman de la France a pour personnages Georges Danton, Manon Roland, Émile Zola, Victor Hugo, Louise Michel ou Albert Camus. Qu'ils aient plaidé lors des États généraux, fondé la République, lutté pendant l'affaire Dreyfus ou résisté à l'occupant allemand, tous ont défendu un idéal commun. De la Révolution à la Ve République, de Mirabeau à Mitterrand, ils ont entretenu cette flamme fragile et nous l'ont léguée. Ce livre retrace, d'une plume relevée et alerte, le destin passionnant de ces femmes et de ces hommes.
Portant sur l'histoire un regard d'éditorialiste avisé, Laurent Joffrin nous montre que c'est en se remémorant la tumultueuse conquête de la liberté qu'on pourra surmonter les dangers qui la menacent aujourd'hui. -
Le roman de la France : De Vercingétorix à Mirabeau
Laurent Joffrin
- Tallandier
- Histoire
- 5 Septembre 2019
- 9791021022355
PLUS HUMAINE QUE TANT DE ROMANS, PLUS PALPITANTE QUE LA MEILLEURE DES SÉRIES :
C'EST L'HISTOIRE DE FRANCE.
Le temps passé est un pays des merveilles. Laurent Joffrin a voulu retrouver ses émotions d'enfance, quand ses professeurs faisaient revivre Vercingétorix, Jeanne d'Arc, Richelieu, Marie-Antoinette ou Mirabeau. Appuyé sur le travail des historiens, il fait resurgir le passé en usant des moyens de son métier, le journalisme. Il ne néglige pas les grands courants d'idées, les mouvements économiques et sociaux. Mais ils ne forment que le décor. Ce sont les personnages qui font la pièce : ce sont eux qu'il raconte.
Et comme tous les romans, cette histoire a un sens. La France vit de ses racines, de son héritage. Mais elle vit surtout d'une adhésion aux préceptes inscrits au fronton de ses écoles et de ses mairies. Et parmi ces valeurs, il en est une qui a cheminé au fil des siècles et qui gouverne les autres. Ce principe, c'est la liberté. Cette histoire, donc, est aussi celle de la liberté.
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On dit parfois la politique ennuyeuse : rien de plus faux. À l'heure des réseaux et de l'info en direct, elle n'est que surprises et rebondissements, embardées et retournements. Pourquoi en laisser le récit à l'image et au son ? L'écrit ne perd pas sa fonction dans cette histoire trépidante, s'il allie rapidité et pertinence.
Journal des innovations, Libération pouvait accueillir, mieux que d'autres journaux, les lettres politiques quotidiennes en ligne qui conteraient jour après jour l'histoire de ce macronisme inédit et virevoltant, irrésistible dans son ascension, si faillible dans son déclin. Et pourquoi s'ennuyer ? Le théâtre politique est plus souvent une comédie qu'une tragédie. Cette drôlerie, cette ironie des destins, ces sarcasmes du sort devaient tisser le récit autant que les épreuves et les drames, qui n'ont pas manqué non plus.
Ce livre, où le rythme quotidien oblige à la légèreté et à la réflexion mêlés, est celui d'un éditorialiste critique à qui on a lâché la bride, assorti d'une postface qui tire les leçons de trois ans de révolution politique, de révoltes sociales et de destins brisés ou magnifiés.
Devenue culte, la « Lettre politique », écrite quotidienne par Laurent Joffrin depuis 2017 sur Libé.fr, est lue par plus de 60 000 lecteurs.
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Mai 68 ; une histoire du mouvement
Laurent Joffrin
- Points
- Points Documents
- 14 Février 2008
- 9782757807286
Que s'est-il passé en mai 1968 ? S'appuyant sur de nombreux témoignages et une documentation abondante, Laurent Joffrin dresse la passionnante chronique de ces journées qui ont changé la vie des Français. Les grandes figures sont présentes (Charles de Gaulle, Pierre Mendès France, François Mitterrand...), aux côtés des lanceurs de pavés anonymes, et la révolte d'hier s'éclaire d'un jour nouveau.
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Qui d'autre que Laurent Joffrin peut écrire un pamphlet contre Nicolas Sarkozy ?
Directeur de Libération, il a été désigné par le président lui-même comme son opposant numéro un, à l'instar de ces journalistes ou de ces écrivains qui se sont élevés tour à tour contre de Gaulle, Giscard ou Mitterrand.
Une monarchie d'apparences, une restauration des plus anciennes valeurs de droite...
Sarkozy, explique Joffrin, se présente sous les traits d'un président-manager énergique tourné vers l'avenir, qui veut réformer la France pour la sauver du déclin. Sous ce discours martial se cache un manoeuvrier madré, frénétique en apparence, ondoyant en réalité, qui use des oripeaux de la modernité pour conduire une restauration des plus anciennes valeurs de la droite, un Narcisse autoritaire qui jouit en solitaire du pouvoir, méprise l'opposition et cherche par des moyens obliques à briser toute résistance. Il détourne la Constitution à son profit, humilie son propre gouvernement, irrite le monde entier et assure par l'intrigue son emprise sur les médias.
Avant tout un opportunisme autocratique, le sarkozisme n'a pour seule boussole que la satisfaction de ses propres désirs et des intérêts de ses amis fortunés.
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Un coup de jeune : portrait d'une génération morale
Laurent Joffrin
- Arlea
- 1 Janvier 1987
- 9782869590144
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Le gouvernement invisible ; naissance d'une démocratie sans le peuple
Laurent Joffrin
- Arlea
- 16 Novembre 2001
- 9782869595538
Dans la France d'aujourd'hui, peu à peu, le peuple perd le pouvoir.
Il croit détenir la souveraineté. De plus en plus, elle s'exerce sans lui, au profit d'un " gouvernement invisible ", formé par l'alliance nouvelle des propriétaires, des dirigeants d'entreprise et des maîtres des médias. La crise de la politique qui se développe sous nos yeux, cette coupure grandissante entre les élus et les électeurs, entre les dirigeants et les dirigés, n'a pas d'autre origine. En principe, nous vivons sous un gouvernement démocratique, c'est-à-dire le gouvernement du peuple, pour le peuple et par le peuple.
En réalité, les forces convergentes de la mondialisation, du droit et du corporatisme l'emportent sur la volonté collective de la nation. La démocratie telle que nous l'avons connue, telle que l'ont conçue les pères fondateurs de la Révolution française, s'efface progressivement. Les libertés individuelles demeurent mais les libertés collectives s'étiolent. Une société nouvelle s'impose, que personne n'a voulue : démocratie d'apparence, oligarchie de fait.
L'ambition de ce livre est de jeter des ponts entre le peuple et les responsables progressistes. Les événements du 11 septembre le démontrent : à l'heure où l'Histoire revient en force, la politique doit de nouveau l'emporter sur l'économie, la souveraineté populaire sur les marchés. Il faut rétablir un lien entre indignation et action, entre protestation et projet, entre le peuple et son gouvernement.
Il faut explorer les conditions d'une reprise du pouvoir : celle que le peuple d'une grande démocratie doit tenter pour qu'elle redevienne démocratique.
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Souvent le sort de la terre s'est réglé sur mer.
Souvent les grandes batailles navales ont scellé le sort d'un empire ou d'une civilisation. Durant ces grands moments guerriers, l'intelligence des manoeuvres, l'intuition des amiraux ou des capitaines, le hasard des conditions météorologiques ont fait la décision. L'auteur fait le pari de raconter journalistiquement ces grandes journées de l'histoire maritime. Il écrit comme l'aurait fait un correspondant de guerre, à la fois au niveau du simple matelot et à celui du capitaine ou de l'amiral d'escadre.
Il répond aussi aux questions que chacun se pose. Pourquoi les uns ont-ils gagné et les autres perdu ? Quel est le sens des manoeuvres des navires et des flottes ? Quel a été le rôle du hasard et celui de la volonté ? Dans sa présentation et sa maquette, l'ouvrage met à profit les ressources nouvelles de l'infographie et l'iconographie disponible. Laurent Joffrin a choisi huit grandes batailles mondiales qui, de Salamine à Midway, d'Actium à Trafalgar, sont autant de romans vrais, pleins de fracas et de fureur, de surprises et de rebondissements, de brutalité et d'intelligence.
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De l'utilité de la gauche caviar...
La " gauche caviar "... Est-ce une fausse gauche qui dit ce qu'il faut faire et qui ne fait pas ce qu'elle dit ? Une tribu frivole et tartuffe qui aime le peuple et se garde bien de partager son sort ? Pis encore, est-ce qu'elle n'introduirait pas, en douce, les réflexes des classes bourgeoises au sein du mouvement progressiste ? Ces gens-là seraient des traîtres, tout simplement.
Dans un pamphlet polémique et historique, Laurent Joffrin analyse ce phénomène apparemment superficiel qui a joué un grand rôle et souvent fait la différence dans le jeu politique, en France comme ailleurs. La gauche caviar irrite, certes, mais constatons qu'elle a toujours reçu les renforts de nombreux bourgeois riches et éclairés. Qu'ils ont souvent dirigé des partis de gauche, servi la classe ouvrière, oeuvré pour le progrès et qu'ils furent constamment pour les socialistes un éclaireur, une aide, un compagnon. De Voltaire à Zola, de Victor Hugo à Kennedy, de Philippe d'Orléans à Keynes, la gauche caviar a été composée d'hommes et de femmes de qualité, d'une efficacité décisive et qui eurent une fonction essentielle dans la marche des événements.
En 2006, qu'en est-il ? L'argent-roi depuis les années 1990 a entraîné derrière lui et dans les tourbillons de la mondialisation une gauche caviar qui s'est peu à peu coupée des réalités. Le reste de la population s'est replié dans la condamnation d'une modernité toujours plus injuste. Et la gauche caviar a abandonné son rôle de charnière, c'est-à-dire son rôle historique. Il faut sonner l'alarme pour fermer la porte à tous les populismes et séparer clairement les partisans du progrès et ceux du conservatisme. C'est le but de ce livre. -
Si les socialistes veulent gagner les élections du printemps 2007, ils doivent enfreindre leur catéchisme ordinaire.
Les tabous de la gauche, les idées reçues auxquelles il ne faut pas toucher, les vieilles lunes ne sont plus de mise. Or le programme du PS - de l'aveu même de ses rédacteurs - est conforme à leurs préjugés archaïques. Il est généreux mais il est inadapté à une société, à un monde où le peuple n'est plus une masse exploitée unie dans une condition commune mais un ensemble beaucoup plus diversifié. Le socialisme moderne doit devenir le socialisme de l'individu.
Les programmes se jugent par leurs résultats plus que par leur conformité aux canons du parti. Pour ne pas aborder le XXIe siècle avec les idées du XIXe, la gauche doit déployer de l'audace et explorer d'autres voies.
L'État a pour mission de servir les citoyens. Le service des plus modestes suppose le respect à leur égard. Le marché doit être combattu quand il nuit aux travailleurs et il doit être utilisé quand il les sert. L'action contre le chômage exige un traitement personnel plus précis et exigeant que le versement de prestations. La retraite ne saurait être une frontière unique et indifférenciée mais un ensemble de droits modulés selon les individus...
Ainsi la gauche cessera de promouvoir une gauche rêvée au détriment de la gauche réelle, du monde vécu.
Si le socialisme incarne le refus toujours vivant de l'injustice capitaliste, il est le prolongement de la démocratie et non son dépassement. Il ne peut pas représenter une utopie qui empêche la gauche de devenir moderne. Sa tâche est digne d'engagement : l'invention d'une politique neuve, la réforme d'une démocratie malade, la construction d'une société toujours plus juste.
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« Il faut en finir avec les discours de la décadence. La France est bien plus forte qu'on ne le croit. Elle possède les armes de la victoire. Encore faut-il les mobiliser. C'est la tâche urgente que les oracles de la déprime empêchent d'accomplir. En temps de guerre, les défaitistes sont fusillés. Nous ne sommes pas en guerre. Mais en temps de crise, les défaitistes doivent être dénoncés. » Écrit à chaud, dans la France réunie qui fut celle d'après les attentats de janvier, cet essai polémique nous fait voir notre pays sous un oeil différent : loin des clichés déclinistes, loin des oraisons funèbres des prophètes du malheur, c'est un « Aux armes citoyens ! » que lance Laurent Joffrin.
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La grande histoire des codes secrets ; du code de césar à la machine enigma
Laurent Joffrin
- Prive
- 20 Mai 2009
- 9782350760827
Au coeur de l'énigme
Les codes secrets sont intemporels. Les indéchiffrables hiéroglyphes alimentaient déjà le mystère qui planait autour de l'Égypte antique jusqu'à ce que Champollion en vienne à bout. De tout temps, les codes secrets ont été un outil indispensable dans les affaires d'ordre politique, diplomatique ou militaire.
Laurent Joffrin nous livre ces codes au travers d'histoires emblématiques : le code de César, les lettres de Marie Stuart, le masque de fer, la langue oubliée des Navajos, " les hommes qui dansent " décryptés par Sherlock Holmes, la machine à codes allemande Enigma, et bien d'autres encore. Au détour d'une vingtaine de récits, l'auteur nous initie à l'art de la cryptologie en nous expliquant les procédés de la transposition, de l'encodage mixte et de la substitution.
Après chaque histoire, un code secret sera donné au lecteur qui devra se mettre dans la peau d'un cryptologue et décoder un message mystérieux. -
Aucun doute : l'autorité fout le camp.
Parents trop libéraux, profs démissionnaires, délinquance en progression, classe politique méprisée et fonction publique déconsidérée, entreprises incapables de s'attacher les salariés, climat général de refus des contraintes, démocratie d'opinion et déification du consommateur : voilà le diagnostic, volontairement caricaturé, que dressent beaucoup de Français sur l'évolution de leur société. Mais le tableau est-il si noir ? Assistons-nous vraiment à une crise générale de l'autorité, à une démission des responsables, à un déclin irréversible des institutions ? Ou bien s'agit-il d'une transformation, somme toute positive, qui voit la démocratie, en progressant, changer radicalement le mode d'exercice de l'autorité, accroître la liberté des individus sans pour autant abandonner les valeurs collectives ? Vivons-nous le déclin de la République ou bien le nouvel âge de la démocratie ? Autour de cette question, qui traverse comme un fil rouge tous les domaines de notre vie sociale et publique, Laurent Joffrin et Philippe Tesson, questionnés par Bertrand Vannier, ont construit un dialogue inédit.
Tous deux éditorialistes de la presse écrite et chroniqueurs radio (" Feux croisés " sur France-Inter), ils produisent ici un texte cursif et dense, qui est aussi un vrai livre de réflexion.
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Entre rêve et cauchemar, les Kennedy offraient une image à deux faces : d'un côté, la beauté et le bien-être ; de l'autre, le mal et la maladie. D'un côté, les sourires éclatants d'une famille unie ; de l'autre, l'ombre des compromissions financières et des adultères compulsifs. D'un côté, l'Amérique de la morale ; de l'autre celle de l'argent. A ces ambiguïtés correspondent des drames successifs : mort du fils aîné pendant une mission-suicide, mort du deuxième fils assassiné par un fou ; mort du troisième fils asassiné par un autre fou ; suicide d'une maîtresse un peu trop voyante - Marilyn - ; implication du troisième fils dans la mort de sa secrétaire. La liste évoque une malédiction... mais à y regarder de plus près, l'enchaînement n'est pas si inexplicable que cela.
C'est l'objectif de ce livre que de montrer, en réunissant diverses enquêtes, qu'il y a une logique dans la malédiction. Toutes sont accrochées les unes aux autres par des relations de cause à effet, et, à l'origine de l'apparente fatalité, on trouve un nom : Joseph Kennedy, le patriarche. Son passé, son itinéraire et l'éducation qu'il a dispensée à ses enfants, en même temps qu'ils illustrent un siècle de l'histoire des Etats-Unis, donnent la clé des énigmes Kennedy.
Présentation de Laurent Joffrin -Joseph Kennedy à la source du mal (Seeds of destruction - Ralph Martin, inédit en français, extrait) -Blythburgh ou la mort du premier fils (Seeds of destruction - Ralph Martin, inédit en français, extrait) -John Kennedy, l'apogée (Une famille, un président, un mythe André Kaspi, extrait) -Marilyn, sous les paillettes, la misère (Seeds of destruction - Ralph martin, inédit en français, extrait) -Dallas, la mort du deuxième fils 1) la théorie du complot (Autopsie d'un crime d'Etat, William Reymond) 2) la théorie du tireur isolé (commission Warren, extrait) -Los Angeles ou la mort du troisième fils (Jusqu'à ce que je meure, Alain Gillette) -Chappaquiddick ou la chute du troisième fils (interrogatoire de Ted Kennedy par le tribunal d'Edgartown, texte inédit en français)
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« Cent jours de folie, cent jours d'héroïsme, cent jours d'audace, cent jours qui composent la tragédie la plus achevée de l'Histoire de France. » Le 9 mars 1815, Napoléon débarque à Golfe-Juan. Seul contre tous, il va reconquérir son trône avec seulement une poignée de soldats, pour le perdre à nouveau trois mois plus tard à Waterloo, écrivant le chapitre le plus romanesque de son épopée. « Pour reconstituer l'itinéraire de Napoléon jour après jour, heure par heure, j'ai choisi de raconter ces Cent-Jours comme un reporter embedded, qui aurait suivi l'empereur pas à pas de l'Île d'Elbe à la plaine de Waterloo. Grâce à une inépuisable bibliographie - réservoir de faits vérifiés, de scènes authentiques, de phrases historiques ou triviales - j'ai eu accès aux palais et aux états-majors, j'ai vécu les combats et les conciliabules, j'ai observé au plus près les faits et gestes des acteurs. Pour compléter ce travail, j'ai visité les lieux de l'action, du palais de Fontainebleau à l'Île d'Elbe, de l'Élysée à la ferme du Caillou, de la Belle-Alliance à l'Île d'Aix. Voici mon reportage. » Laurent Joffrin Laurent Joffrin, journaliste, écrivain, dirige le quotidien Libération. Né en 1952, diplômé de Sciences Po et du CFJ, il a écrit des essais politiques, des livres d'histoire et une série de trois romans sur l'époque napoléonienne.