Traduit par Rousane et Jean Guréghian en arménien occidental, orthographe classique (mesrobian). ... Au fond, je n'ai qu'un seul rival international... c'est Tintin ! . Général de Gaulle. Depuis sa création, en 1929, par Remi Georges, dit R. G. ou Hergé (1907 - 1983), créateur belge de bandes dessinées de génie, le succès mondial de Tintin ne s'est jamais démenti. Les albums de Tintin sont traduits dans la plupart des langues du monde. Cet immense succès est dû à la beauté et la précision de ses dessins, aux personnages remarquablement typés, aux récits respectant les valeurs morales et traditionnelles et aux multiples gags remplis d'humour. Les aventures de Tintin ont ravi et continueront à ravir les amateurs de tous âges. Les albums restent dans les bibliothèques pendant des décennies et passent d'une génération à l'autre.
Traduit en arménien occidental par N. Topalian et V. Sirapian. Un messager venu de Chine vient rencontrer Tintin dans le palais de son ami le Maharadjah de Rawajpoutalah, où notre héros se repose. mais il est touché par une fléchette empoisonnée au radjaïdjah, le poison qui rend fou. Il n'a que le temps de prononcer les mots Shanghaï et Mitsuhirato, avant de sombrer dans la folie. Très vraisemblablement, cette affaire a un lien avec les trafiquants de drogue que Tintin a combattus dans l'album Les Cigares du Pharaon. Tintin part à Shanghai pour rencontrer Mitsuhirato mais subit divers attentats ratés...
Traduit par Rousane et Jean Guréghian en arménien occidental. ... Au fond, je n'ai qu'un seul rival international... c'est Tintin ! a dit un jour le Général de Gaulle. Les albums de Tintin furent traduits, à partir de 1952, dans la plupart des langues du monde. Grâce à cela Tintin est devenu un personnage mondialement connu. Les aventures de Tintin et de Milou ont ravi et continueront à ravir les amateurs de tous âges et les albums sont transmis de père en fils. Les 7 Boules de Cristal fut le premier album de Tintin traduit en arménien. Après le succès incontestable de ce premier album, voici à présent la suite de cette histoire avec Le Temple du Soleil.
Traduit en arménien occidental. Les Cigares du Pharaon se caractérisent surtout par l'apparition du mystère dans la série. Jusque là, l'histoire était surtout une suite d'aventures. Mais maintenant, le roman policier et le fantastique entrent dans les Aventures. Dans Les Cigares du Pharaon, on trouve beaucoup de thèmes propre aux romans à l'ambiance mystérieuse : Une malédiction étrange, un clan secret très puissant, le poison qui rend fou et des trafics en tous genres.
Comment l'idée de démocratie a-t-elle cédé le pas au chaos universel? Derrière les apparences, qui sont les réels protagonistes de la géopolitique mondiale? Les Gilets jaunes sont-ils une résurgence du rêve occidental?Une analyse juridique, institutionnelle, économique et monétaire, qui considère les évolutions historiques nationales et internationales, permet de saisir la réalité cachée du pouvoir actuel. Derrière le pouvoir politique apparent se profile, dans un jeu d'ombres et de lumières, le véritable pouvoir mondial. Les États ne sont majoritairement plus des entités autonomes et souveraines mais des coquilles vides, dénuées de légitimité politique.Depuis l'époque des Grandes découvertes et de la fusion, par Oliver Cromwell, des puissances militaire et financière, le «fait politique» a progressivement, partout dans le monde, cédé la place au «fait économique». Les actuelles «démocraties» ne représentent pas les intérêts des populations mais les intérêts de ceux qui financent les campagnes électorales et les «partis». Les donneurs d'ordre se cachent derrière les pantins politiques et l'anonymat des capitaux pour échapper à toute responsabilité. Les financiers, véritables responsables politiques, imposent ainsi leurs intérêts catégoriels aux populations en toute impunité.Ces grands détenteurs de capitaux opèrent à partir de leur quartier général de la City et répartissent leurs forces dans les paradis fiscaux qui ont fleuri aux quatre coins du monde. Les allégeances actuelles fonctionnent sur le modèle de l'hommage-lige féodal, à la réserve près que ces liens de subordination sont occultes. Dans les coulisses, le véritable modèle de nos démocraties modernes est le fonctionnement des mafias, qui contrôlent la Société par les récompenses matérielles et la terreur.Les «banquiers-commerçants» ont construit leur puissance au fil des siècles par le contrôle des monnaies et des «lois». Ils ont élaboré, via le droit des affaires, un archétype mondial de Société sans ordre moral. Ce système, d'origine anglo-saxonne a, sous couvert de «liberté», remplacé le modèle de droit continental traditionnel. Il sévit autant dans les «droit» et «sciences» économiques - y compris au niveau des normes comptables - que dans les systèmes monétaires, financiers et institutionnels. Peu à peu, le modèle impérial anglo-saxon génère, partout dans le monde, un glissement vers l'esclavagisme légal.Il ne reste plus aux banquiers qu'à parfaire leur oeuvre en instituant officiellement un gouvernement mondial dictatorial que leurs partisans appellent d'ores et déjà «nouvel ordre mondial». Ce «nouvel ordre» est loin d'être nouveau, il vient tout droit du XVIIème siècle.
Les institutions françaises sont faussement démocratiques car adossées à une prétendue «représentation du peuple» par des «élus» aux seuls services des financiers qui permettent à leur parti politique de les présenter aux élections. Au surplus, la prétendue séparation des pouvoirs, qui se garde bien de mentionner le seul moyen du pouvoir, celui de la création monétaire (laquelle est intégralement contrôlée par les banquiers privés) n'a jamais été pertinente.Ces institutions faussement démocratiques ne sont pas l'apanage de la France car elles se sont répandues dans tous les pays occidentaux, dits civilisés et en réalité soumis à la Haute finance apatride dont le Quartier Général historique est situé à la City of London.Le modèle commercial et maritime développé par l'Empire britannique a utilisé toutes les armes à sa disposition pour prévenir toute opposition. Suivant leur volonté hégémonique, les puissances financières ont imposé au monde, en tant que modèle indépassable, son «droit», qui n'est autre qu'un intégrisme commercial caché derrière la généralisation de l'anonymat, permettant l'irresponsabilité. Pour favoriser leur développement, les tenanciers de la Haute Finance ont perfidement utilisé le concept de «Soft Law», qui met en oeuvre la séduction des masses, la ruse et la corruption pour imposer des règles qui n'ont rien de «Soft» mais qui sont, tout au contraire, à l'origine de toutes les guerres récentes, qui visent au contrôle intégral des richesses créées par l'homme et des ressources naturelles présentes sur la planète.Peu à peu, le modèle juridique propre au droit continental, qui a permis le développement d'une «civilisation européenne» a été liquidé au profit du tout commerce imposé par les tenanciers de la Haute Finance internationale, promoteur du Nouvel Ordre Mondial. Cet Ordre, réel désordre, n'a rien de nouveau, il est l'officialisation institutionnelle de la prise de pouvoir hégémonique des puissances financières sur les États et sur le concept même de «politique». Le long glissement qui a fait passer l'Europe du «fait politique» au «fait économique» est devenu officiel avec l'avènement des institutions européennes dont l'histoire, née sous le signe des cartels, a immanquablement évolué vers un intégrisme commercial et financier de type fédéral.Ces partisans du Nouvel Ordre Mondial ont prévu, pour nous, un avenir dans lequel la liberté, y compris celle de ressentir des émotions individuelles et celle consistant à avoir une capacité de libre discernement, ne sera plus qu'un lointain souvenir. Les populations continueront-elles à être dupes de leur propre mise en esclavage?
L'histoire officielle de l'exécution de Talaat Pacha est connue à travers le procès qui s'est déroulé les 2 et 3 juin 1921 à Berlin. À la lecture des premières minutes du procès, on apprend qu'un jeune homme de 24 ans, Soghomon Tehlirian, ayant des crises d'épilepsie et des hallucinations, voit un jour de mars 1921 Talaat Pacha sortir de sa maison située sur la rue Hardenberg, à Berlin. Tehlirian prend son pistolet, descend dans la rue, suit Talaat et l'abat, à bout portant, avec une balle dans la tête. Pendant tout le procès, il prétend avoir agi seul, pour venger sa famille en exécutant celui qu'il considère comme le responsable des massacres de ses parents, mais aussi de tout un peuple. Or les archives de l'Institut Zoryan et celles du parti FRA-Tachnagtsoutioun révèlent une toute autre histoire. On saura plus tard que Tehlirian était à Berlin, chargé d'une mission spéciale, Némésis...
À travers la vie de St Hugues de Cluny, impliqué dans tous les grands événements de cette époque du haut moyen âge comme l'affaire de l'empereur d'Allemagne à Canossa, les péripéties en Orient, la fondation des premières communes en France..., on se trouve plongé en ce deuxième tome dans toute une partie charnière de l'histoire de notre civilisation.
La démocratie est un régime politique dans lequel les grandes décisions sont prises, sinon par le peuple, du moins dans l'intérêt du peuple et sous son contrôle. Nous verrons qu'un tel régime est encore plus éloigné des actuelles républiques parlementaires qu'il ne l'était de l'Ancien Régime. Le pouvoir politique a, en Occident et depuis le XVIIIe siècle, été confisqué par les détenteurs du pouvoir économique qui mènent actuellement une guerre tous azimuts et sans merci aux États et aux souverainetés politiques qui tentent de résister. Ce processus est arrivé au point où «l'Esprit des lois» de Montesquieu n'est plus reconnaissable et où le droit continental, dicté par des considérations humanistes, est en passe d'être définitivement balayé au profit d'intérêts mercantiles formatés au droit anglais. Ces intérêts, qui reflètent la volonté hégémonique des détenteurs de la puissance économique, tendent logiquement à remettre au goût du jour le principe de l'esclavage légal. Après avoir analysé qui sont les véritables détenteurs du pouvoir, la présente étude propose des solutions juridiques et institutionnelles pour rendre au principe politique la prééminence qu'il est en passe de perdre définitivement.
Le contrôle politique de la monnaie est le préalable technique qui permettra aux États de recouvrer leur autonomie politique et de coopérer avec d'autres États afin d'accroître cette autonomie. Néanmoins, et au point où nous en sommes rendus, la souveraineté monétaire n'engendrera pas, à elle seule, le retour de la souveraineté politique : elle devra s'accompagner de quelques mesures juridiques indispensables telles que, la suppression de l'anonymat des détenteurs de capitaux, et, l'élaboration d'une nouvelle conception de « l'entreprise » qui acte cette dernière en tant qu'institution juridique d'utilité sociale. Le retour du fait politique passe également par l'éradication du principe de « propriété économique », issu de la culture juridique anglo-saxonne, laquelle est entièrement assujettie à la prééminence économique et à la prédation sociale. La propriété économique est la notion clef permettant de transformer le principe d'accaparement en droit positif, actant ainsi la double disparition des concepts de « fait politique » et de civilisation.
Cet essai prétend donner aux États les armes juridiques permettant d'oeuvrer à un renversement de l'ordre géopolitique actuel. À cette fin, il propose notamment une théorie juridique de la monnaie, simple à mettre en oeuvre, qui permettra à tout pouvoir politique encore indépendant de reprendre le contrôle de sa monnaie.
Dans la seconde partie de cette série de chroniques sur la guerre en Syrie, qui peut s'aborder de façon indépendante, l'auteur passe en revue les différents assassinats et massacres instrumentalisés par les médias et les politiques français pendant les cinq années de la guerre en Syrie. Trois affaires en particulier sont passées au crible dans leurs moindres détails : l'affaire Hamza al-Khatib de mai 2011, le massacre de Houla du 25 mai 2011, le tir à l'arme chimique dans la banlieue de Damas le 21 août 2013. Ces exactions horribles, en particulier les deux dernières, ont été unanimement présentées par les médias et les politiques, avant toute enquête, comme des oeuvres du « régime » syrien, et devaient servir de prétexte au déclenchement d'une expédition militaire punitive contre la Syrie, prélude à un « changement de régime », alors qu'il s'agissait, comme l'auteur le démontre, d'opérations sous faux drapeau perpétrées par des « rebelles ».
Dans le cas syrien, le caractère manipulé de ces événements ressort d'autant mieux que dans le même temps médias et politiques ont systématiquement tu ou minoré les crimes contre l'humanité perpétrés par toutes les factions « rebelles », exactions que l'auteur ramène à la lumière pour bien montrer le flagrant deux poids deux mesures dans la présentation de la guerre en Syrie au peuple français.
Yalta n'est plus. Un nouveau partage du monde est en train de se structurer. La France et l'Europe veulent-elles en être les acteurs ou les spectateurs ? La mise à sac du Moyen-Orient par l'Occident, les défis migratoires, sécuritaires et culturels, l'éclatement des mécanismes multilatéraux, les utopies pacifistes, le terrorisme multicéphale et nos graves incohérences vis-à-vis de l'islamisme radical, mais aussi le réveil des nations et des peuples, l'affirmation de nouvelles puissances ou la résilience d'anciennes que l'on a voulu enterrer trop vite, tous ces processus dessinent des lignes de faille et de crête de la réalité internationale qu'il nous faut d'urgence regarder avec lucidité, pragmatisme et humanité.. Pour favoriser l'apaisement du monde, la moraline est inopérante ou franchement contreproductive. Elle n'est même pas un placebo, bien plutôt un diffuseur de violence. Les chroniques et tribunes rassemblées dans cet ouvrage éclairent les principaux évènements internationaux des cinq années passées et dissèquent sans concessions ni dogme la complexité des nouveaux équilibres mondiaux. Elles tracent les contours d'une réforme de la politique étrangère française et les chemins d'alliances souhaitables pour permettre à l'Europe de comprendre enfin que la préservation de la souveraineté de ses membres, loin d'être un handicap singulier, est un atout collectif qui peut peut-être encore la sauver de la double dévoration qui la guette.
Artsakh entre dans une nouvelle phase. Il ne s'agit plus de mémoire et de revendication du passé mais d'aller au-delà dans le cadre d'un contexte géopolitique étrange et mouvant. Cette monographie collective a un sens à partir de l'instant où nous réalisons que nous devons intégrer des acquis. Extrait de préface de Nikos Lygeros
En tant que « pivot géopolitique », l'Ukraine est une pièce maîtresse de la partie stratégique opposant sur l'Échiquier eurasien les deux superpuissances de la Guerre froide. Le statut particulier de cet État post-soviétique est à l'origine de la « révolution » national-libérale dollarisée, ayant renversé - avec l'aide de courants extrémistes, dont néo-nazis - le président pro-russe Ianoukovitch, le 22 février 2014, et dont l'objectif réel est le contrôle d'un espace doublement stratégique sur les plans politique et énergétique. Au final, ce contrôle est la condition permissive de la poursuite du reflux de la puissance russe, digne héritière de l'Union soviétique perçue comme instinctivement hostile.Comme choc exogène, ce putsch est potentiellement déstabilisateur pour les équilibres internationaux post-guerre froide et en définitive, pour la stratégie de puissance - « derjava » - développée par V. Poutine dans le cadre de son Union eurasiatique, dont Kiev était une pierre angulaire. À travers la crise ukrainienne, c'est le futur statut de la Russie dans l'espace politique européen qui se joue et, par ricochet, celui de l'axe OTAN-USA - donc, en creux, l'idée gaullienne d'une « grande Europe » enfin indépendante.À terme, la « révolution » du Maïdan aura donc un impact décisif sur la configuration géopolitique du Nouvel ordre international issu du post-communisme, en rupture totale avec l'espoir né de la Perestroïka gorbatchévienne, repris par la ligne Poutine d'un monde multipolaire et égalitaire recentré sur l'ONU. Comme une ultime trahison, au coeur de la Guerre tiède.