Toutes les civilisations ont perpétué de grands mythes issus de la nuit des temps. Peut-on les relier entre eux ? C'est ce qu'a réalisé Joseph Campbell dans cet essai, où il expose sa théorie selon laquelle tous les mythes répondent aux mêmes schémas archétypaux. En effet, le périple de presque tous les grands héros se déroule selon un enchaînement bien déterminé : appel à l'aventure, épreuve, affranchissement de l'aide du mentor, accomplissement de l'objet de la quête, retour au pays. Nouvelle édition entièrement revue et enrichie, avec de nombreuses illustrations ! Joseph Campbell, reconnu aujourd'hui comme le plus grand spécialiste mondial du mythe, démontre ici que quasiment tous les héros, de quelque époque ou culture que ce soit, suivent dans les grandes lignes le même schéma. Les oeuvres plus contemporaines ne font pas exception : Star Wars, tout comme Matrix ou Le Seigneur des Anneaux sont construits selon ce même archétype. Ce n'est pas un hasard si Le Héros aux milles et un visages est le livre de chevet des plus grands scénaristes et metteurs en scène. Joseph Campbell a enseigné près de quarante ans au Sarah Lawrence College (New York) où une chaire de mythologie comparative a été créée en son honneur. Ses livres ont influencé des millions de lecteurs.
Marilla Cuthbert et son frère Matthew décident d'adopter un jeune garçon pour les aider dans leur maison des Pignons verts, mais c'est Anne Shirley, gamine rousse à l'inspiration débordante et à la langue bien pendue, qui les attend à la gare. Anne grandit donc à Avonlea, et s'y fait beaucoup d'amis, ainsi que des rivaux, car son intelligence et son impétuosité lui jouent parfois bien des tours. Un roman sur l'adolescence, la différence et la liberté, à mettre dans les mains de tous les jeunes dès 12 ans et de leurs parents nostalgiques. Le plus grand classique de la littérature canadienne, adapté à la télévision sous le titre "Anne, le bonheur au bout du chemin" et depuis quelques semaines par Netflix avec "Anne with an E"
Je n´avais pas vu Holmes depuis quelque temps. Mon mariage nous avait séparés l´un de l´autre. Le bonheur parfait dont je jouissais, les nouveaux devoirs et les occupations inséparables d´une entrée en ménage absorbaient tous mes instants. De son côté, Holmes, dont la nature bohème répugnait à tout ce qui avait l´apparence du monde, continuait à résider dans notre appartement de Baker Street, enfoui sous ses vieux bouquins, alternant de semaines en semaines la prise de cocaïne et la résolution de nouveaux cas?; en somme tantôt engourdi par le poison et tantôt dévoré par l´activité extraordinaire de son ardente nature.
Cette édition reprend l´intégralité des illustrations de Sidney Paget dans une mise en page proche de l´édition originale du "Strand Magazine ".
Août 1853 au royaume de Prusse. Une jeune fille juive de seize ans qui rêve d'aventure épouse son oncle de vingt-huit ans qui vient tout juste de rentrer des États-Unis. Le mariage à peine célébré, ils s'embarquent à Hambourg pour traverser l'Atlantique. C'est le début d'un périple qui les mènera par la piste de l'Oregon chez les chercheurs d'or de Californie, puis jusqu'à Salt Lake City où ils s'établiront parmi les pionniers mormons.
Cette version du livre d'Esther, la meguilah salmantina, est l'oeuvre d'un nouveau chrétien de la ville de Salamanque au milieu du XVe siècle. Il reproduit fidèlement le récit en ladino que lisaient les Juifs sépharades au Moyen-Âge lors de la fête carnavalesque de Pourim. Son style hautement poétique, encore largement accessible aux hispanophones, naît de la rencontre du castillan ancien et de l'hébreu biblique. Il est publié dans une version bilingue traduite en français par Julia Chardavoine et illustrée par Maeva Rubli. Notes et postface du professeur Carlos Sainz de la Maza.
Second tome de la saga canadienne Anne Shirley, nous retrouvons la jeune femme de ses 16 à 18 ans à Avonlea où elle devient maitresse d'école.
Peu de personnes peuvent se prévaloir d'avoir vécu plusieurs vies et encore moins plusieurs vies heureuses au XXe siècle. C'est le privilège de Victor Eskenazi, un Juif ottoman né en 1906 à Istanbul ou plutôt Constantinople, la capitale de l'Empire ottoman. Sa ville natale est alors une métropole vibrante, un carrefour des langues et des cultures à la veille de grands bouleversements. A travers lui, nous découvrons toute la richesse d'une éducation cosmopolite au sein d'une famille sépharade qui a conservé d'un passage à Gibraltar la nationalité britannique. Les vicissitudes de l'histoire mèneront successivement Victor Eskenazi à Vienne puis à Milan où il apprend d'un oncle haut en couleur le commerce des antiquités orientales. Puis c'est la Seconde Guerre mondiale où Victor Eskenazi s'engage comme volontaire dans l'armée britannique. Affecté au renseignement militaire au Caire puis à Istanbul, il finira la guerre au rang de capitaine de l'Intelligence Corps. En toutes circonstances Victor Eskenazi a fait preuve d'une extraordinaire capacité d'adaptation et d'une confiance à toute épreuve. C'est cette leçon de vie peu commune qu'il nous transmet en même temps que les saveurs d'un monde disparu.
Ces entretiens permettent de saisir le caractère d'un homme au-delà des mots. Ray surgit d'une chambre d'hôtel, timide et maladroit, s'écroule dans son canapé après cinq heures de travail ou cite Nietzsche en regardant les eaux bleues du détroit de Juan de Fuca. Il fume, il mange, il se penche vers son interlocuteur pour lui parler à voix basse, s'assurant d'avoir bien saisi chaque question. Humble et bienveillant, il fait souvent preuve d'humour et ne manque pas une occasion de rendre hommage à ceux qui l'ont influencé. Reconnaissant envers la vie de lui avoir accordé une « seconde chance », il ne cesse de travailler et témoigne de sa « foi envers les choses de ce monde ».
Devenu Carver, Ray affirmait que tout restait à faire. Il aimait comparer sa vie à un champ à labourer qu'il contemplait avant de mourir en déclarant : « Je crois aux miracles et à la renaissance. » Fanny Wallendorf
Dix-huit écrivains russes sont réunis dans ce livre de nouvelles inédites. Parmi ces grandes plumes, des grandes gueules, des provocateurs, des poètes. Sorokine, Limonov, Prilepine, Chichkine...
Quelque chose dans l'air nous fait croire que c'est la dernière fois qu'ils peuvent être réunis.
En Russie, être écrivain, c'est un destin. Un long chemin de croix. Tolstoï a été excommunié, Dostoïevski condamné à mort et gracié juste après le roulement du tambour, Gogol enterré vivant. Soljenitsyne, Pasternak, Boulgakov... ils sont légion, ces diables des belles lettres. Le dégel, qui permet de temps à autre de publier officiellement ces dissidents, ne dure jamais trop longtemps. Il ne faut pas être prophète pour deviner que ce rideau de fer qu'on croyait disparu à jamais est en train d'être restauré. Dans peu de temps, certains de ces excel- lents écrivains russes deviendront les porte-parole de la grande Russie impériale, d'autres seront priés de quitter le territoire, d'autres encore crèveront la dalle en écrivant des chefs-d'oeuvre qu'on ne lira qu'après leur mort.
Être écrivain en Russie, c'est vendre son âme ou mourir sur le bûcher de ses livres.
D'après une idée originale de Sergueï Nicolaïevitch et Natalia Turine
Chaque matin, Solika passait sous les fenêtres du palais, le panier du petit déjeuner à la main. Le prince à sa fenêtre aurait bien aimé savoir ce qu'il contient mais Solika gardait jalousement son secret. Jusqu'au jour où le prince décida d'employer les grands moyens...
Les dix contes présentés ici portent la mémoire des judéo-espagnols d'Orient, de leur sagesse, de leur mode de vie et surtout de leur humour. Ces contes se transmettaient de vive voix grâce au talent du conteur qui n'hésitait pas à les adapter à son auditoire. C'est ainsi que les contes voyageaient, se transformaient, se réinventaient. Puissent-ils échapper à nouveau à ces pages et retrouver vie dans la bouche du conteur !
Forte au début du XXe siècle de plus de 100 000 personnes, la communauté juive de Turquie ne représente plus aujourd'hui qu'un dixième de ce chiffre. Alors qu'elles voyaient nombre de leurs proches partir et qu'elles s'interrogeaient sur leur propre avenir, Rita Ender et Reysi Kamhi, toutes deux natives d'Istanbul, ont demandé à trente jeunes Juifs de Turquie de choisir un objet de famille et de leur en confier l'histoire. Au fil de ces conversations intimes, s'esquisse peu à peu la vie de communautés, de familles et de personnes qui se croisent sans jamais se confondre. Autant d'attitudes et de choix différents, marqués par les épreuves de la guerre et de l'émigration qui viennent plus d'une fois rompre la chaîne des générations. La question de la transmission n'en demeure pas moins vive, qu'elle s'éprouve sur le mode de la fidélité, de l'absence ou de la nostalgie. Entre attachement à une culture qui s'éteint - au premier rang de laquelle la langue judéo-espagnole - et attrait irrésistible de la modernité, les jeunes Juifs de Turquie se cherchent un avenir qui passe souvent par l'exil, mais aussi par la nécessité de préserver certains liens affectifs avec leurs racines. Cette tendresse et cette infinie compréhension, c'est surtout auprès de leurs grands-parents qu'ils l'éprouvent. Leur cuisine exprime mieux que les mots l'amour filial. C'est encore leur portrait qui apparaît en filigrane de chacun des objets de famille et qui les suit même après leur disparition. Si les jeunes Juifs de Turquie paraissent si étonnamment modernes, mobiles et créatifs, peut-être le doivent-ils à ces grands-parents, qui sans porter de jugement ont su leur transmettre leur confiance et leur art de vivre.
Né à Milan en 1926 dans une famille juive originaire d'Edirne en Thrace, Isaac Papo a fondé et dirigé durant quarante ans le département de neurochirurgie de l'hôpital d'Ancône. En marge de ses activités professionnelles, il s'est intéressé à l'histoire des communautés sépharades des Balkans. Une odyssée judéo-espagnole, d'abord publiée en espagnol, puis en italien constitue la somme de trente années de recherches, de voyages et de rencontres. Isaac Papo ne se contente pas de restituer la trajectoire de sa famille depuis son long séjour dans l'Empire ottoman jusqu'à ses exils en Italie et en Espagne où elle se réfugie en 1942. Il s'efforce à travers cet exemple de comprendre les ressorts psychologiques du monde judéo-espagnol, d'en restituer tout le charme, fruit de la rencontre entre cultures d'Orient et d'Occident, mais aussi d'en montrer l'inéluctable déclin. D'anecdotes en réflexions, ce sont plus de cent cinquante ans d'histoire européenne qui défilent ainsi sous nos yeux, sans aucune complaisance ni sentimentalisme, mais en sacrifiant à l'impératif biblique « Souviens-toi ! »
Ces poèmes de Luís Filipe Castro Mendes, parus d'abord dans son pays, furent écrits en Inde entre 2006 et 2011 lorsqu'il y était ambassadeur du Portugal. Ils possèdent, outre leur beauté, une qualité dont le monde globalisé a un besoin urgent : l'écoute de l'autre. Mettre à la disposition du lecteur francophone des textes si utiles à l'émergence d'une conscience universelle qui soit attentive aux différences, voilà sans nul doute une entreprise culturelle nécessaire, répondant à des préoccupations contemporaines toujours plus présentes chez beaucoup de gens.
A n'en pas douter, il existe des amateurs en attente de ce genre de livres.
Inspirés de faits authentiques, les personnages de ce roman nous ouvrent les arcanes des machinations politiques occultes durant la guerre froide en plein coeur de Rome. Il ne s'agit ni d'une tragédie, ni d'un documentaire-fiction mais d'une histoire réelle, vécue. Grâce à Patrizio Avella nous retrouvons avec délectation une Italie traditionnelle aux mille saveurs mais aussi une Italie en pleine évolution avec ce que cela comporte de drames et de scandales... Guido Gian, un agent des « Servizi » saisit l'opportunité d'une mission pour organiser un évènement spectaculaire et meurtrier dans le but de créer un climat de terreur préalable à un coup d'état militaire. Au milieu de ce plan machiavélique qui concernera le « Tout Rome » un amour naîtra. Licia en détournera-t-elle les sombres desseins ? Après « La Dolce Vita », les années de plomb débutent dans le sang et les larmes. Patrizio Avella nous embarque littéralement en plein coeur de l'Italie, de Rome et de sa plume vise très habilement les nôtres. Extrait : « L'horizon embrasait les collines du capitole. Sur le Quirinal le ciel, chargé de nuages incendiés, illuminait la cité romaine avant l'orage de feu. Du plus profond de ses entrailles montait un vacarme galopant. La guerre se rapprochait. Rome, sombrait dans un grondement. Nul ne connaissait la progression exacte de l'invasion de la ville éternelle. Les Bolcheviks bousculaient les troupes de l'Otan pour les acculer devant le dernier rempart de la Chrétienté. Cette fois, Rome ne serait pas ville ouverte. Le berceau de la civilisation occidentale devait suivre l'exemple de Prague et lutter contre la barbarie. Les combats rageurs se poursuivaient. L'antique Rome se perdait. Le jeune Colonel italien épousseta son uniforme, ajusta précautionneusement son casque. Le moment devint solennel.
Anne Shirley a fini d'enseigner à l'école d'Avonlea et quitte l'île du Prince Edouard pour rentrer à l'université en compagnie de ses amis d'enfance Priscilla, Charlie et Gilbert Blythe. A Redmond, elle se crée de nouvelles amitiés et rencontre également le prince charmant qu'elle avait imaginé et espéré...
Le 22 août 1853, un jeune peintre et photographe juif de trente-huit ans, Solomon Nunes Carvalho, acceptait l'offre du colonel John Charles Frémont de participer à sa dernière campagne d'exploration dans l'Ouest américain. De ce voyage à travers les montagnes Rocheuses et jusqu'en Californie, Carvalho devait ramener le premier grand reportage photographique du Far West.
Né dans une famille sépharade de Charleston, Solomon Nunes Carvalho n'avait pourtant jamais sellé un cheval de sa vie et connaissait à peine le maniement des armes. En revanche, il était curieux de toutes les inventions et était devenu en quelques années un daguerréotypiste renommé dans l'Est des États-Unis. Effectuer un reportage en plein hiver et en haute altitude constituait cependant un défi quasi insurmontable pour l'époque. Il décida de le relever et y parvint au terme d'une incroyable épopée dont il écrivit le récit à son retour. Le livre devint aussitôt un best-seller aux États-Unis.
D'un pays lointain où l'on croit encore aux contes, Yannis Adamis nous rapporte sept belles histoires. Des contes d'aujourd'hui qui se jouent des contes anciens et où il se passe des choses à peine croyables, comme de sauter d'un conte à l'autre ou de faire mentir son destin.
Trois mesures de fantaisie, une bonne dose de poésie et une pincée de philosophie : autant de recettes pour renouer avec le plaisir de conter.
César Anguiano Silva, né à Colima, Mexique, en 1966, a étudié les Lettres hispano-américaines à l'Université de sa ville natale. Il publie en 2004 son premier roman, A la deriva (A la dérive) et son premier recueil de poèmes, Los poemas de Safo (Les poèmes de Sapho). En 2013, son livre La sangre y las cenizas (Sang et cendres) est primé en Espagne, à Ségovie, au Concours International de Poésie Jaime Gil de Biedma.
Lecteur passionné des classiques et auteur réaliste, César Anguiano a écrit, outre de nombreux romans, plusieurs pièces de théâtre, entre autres Vengando a Pessoa (En vengeant Pessoa) et Delirium Bicentenarium Tremens. Il travaille actuellement à un nouveau recueil et à une grande fresque romanesque où il entend décrire le Mexique des dernières décennies.
Jorge Vargas, photographe, réalisateur de courts-métrages et poète, est né en 1990 à Armería, Etat de Colima.
Pueblo quieto (Paisible village) est sa première oeuvre poétique. Il s'y distingue déjà comme l'une des voix les plus authentiques et les plus puissantes de la nouvelle génération d'écrivains mexicains. Doté d'un regard infaillible, il s'en sert pour représenter, en images comme en poèmes, la vie et la lutte des Mexicains pour une vie meilleure. Sans nul doute, il faudra suivre le parcours de cet artiste.
"Pueblo quieto, igual que La sangre y la ceniza, son dos poemarios que exploran en el verdadero significado de una mal llamada "guerra contra el narco", una reflexión que no sólo incumbe a los mexicanos, sino en cualquier persona interesada en el análisis de los discursos políticos, sea cual sea su lugar de nacimiento o residencia." César Anguiano "Paisible village, tout comme Sang et cendres, sont deux recueils qui explorent, au vrai sens de la si mal nommée "guerre contre les narcos", une réflexion incombant non seulement aux Mexicains, mais aussi à toute personne intéressée par l'analyse des discours politiques, quel que soit son lieu de naissance ou de résidence."
Un recueil du poète syrien Nouri Al-jarrah, traduit par le poète Aymen Hacen. Dans ce nouveau volume, inédit, Nouri Al-Jarrah se sert de figures bibliques et coraniques pour écrire la tragédie du peuple syrien. À ce titre, il s'agit plus d'une épopée que d'une série de poèmes, car ces textes, écrits entre 2013 et 2017, se conjuguent, s'articulent et résonnent ensemble dans un seul et même élan: celui qui a fait que de la lumière du cri et du sursaut d'un peuple, les ténèbres et la désolation aient aussitôt pris le dessus. Nouri Al-Jarrah n'est cependant pas désespéré. Son chant fait des Syriens les Troyens du XXIè siècle et par là même les destine à un avenir certain. C'est moins une prophétie qu'une foi humaniste exprimée par la poésie. Comme le poète, nous croyons en l'avenir du Printemps...
« Legbazel, genre auquel j'ai voué une indéfectible préférence, a toutes les qualités : cultivant l'art de la pointe, pour faire rire ; musical, prêt pour toutes les interprétations vocales et instrumentales ; bref, et donc facile à mémoriser ; dense, car chargé de toutes les caractéristiques des autres genres : aussi offensif que le gta, la joute oratoire, aussi nostalgique que le nessib, la déploration sur le passé et les ruines, aussi flatteur que les poèmes de louanges, aussi désolé que la marthya, l'éloge funèbre.
Dans ce vaste voyage des poèmes à travers les dunes et à travers les âges, nous proposons que tous, « augmenteurs » ou lecteurs, pratiquent une stratégie du rebondissement, de texte en texte, de commentaire en commentaire, de rectification en nouvelle proposition. » Moctar Maghlah
"La folie, tout le monde en parle. Mais avez-vous déjà plongé en son sein, dans ses plus abjectes profondeurs ?
Graham Masterton, l'un des plus grands auteurs mondiaux de la littérature horrifique s'associe à Frédéric Livyns le temps d'un recueil. Ils vous convient à un voyage mémorable dans les ténèbres. A travers 6 textes pulps, véritable hommage à l'ancienne littérature horrifique, alliant tour à tour terreur et humour, noirceur et dégoût, les auteurs vous proposent une plongée en apnée dans les tréfonds les plus sombres de l'âme humaine. Ces histoires réservées à un public averti sont brillamment illustrées par Christophe Huet qui a donné vie aux mots à travers des tableaux propres à vous faire toucher du doigt l'aversion engendrée par le caractère extrême de certains récits."