Il était une fois un garçon nommé Kay et une fille appelée Gerda, qui s'aimaient comme un frère et une soeur. Leur plus grand plaisir était de jouer à l'ombre des rosiers.
Un jour, un méchant sorcier fabriqua un miroir maléfique dans lequel tout ce qui se reflétait de beau devenait laid. Alors qu'il volait dans le ciel, le miroir lui échappa et se brisa en milliards d'éclats qui vinrent se ficher dans les yeux ou le coeur de ceux qui se trouvaient sur leur passage. C'est ce qui arriva à Kay.
À partir de cet instant, il devint méchant et se mit à détester tout ce qui était beau, en particulier les roses...
Le diable n'en est sûrement pas à son premier tour lorsqu'il brise le miroir de la Reine des Neiges ; des milliers d'éclats de verre se dispersent aux quatre coins de la Terre. Pour Gerda, c'est le début d'un long périple au travers d'une contrée merveilleuse. Dans sa quête, elle interroge fleurs et animaux, vent et soleil, et suit la trace de Kay, son ami disparu, qu'un bout de verre a envoûté...
La Reine des Neiges est suivie de La Petite Poucette, Les Fleurs de la petite Ida, La Cloche et Les Cygnes sauvages.
Il arrive souvent que le diable qui dispose, comme chacun sait, d'immenses pouvoirs, s'amuse à semer la discorde sur Terre pour le simple plaisir de se réjouir du malheur des hommes. C'est à la suite d'un tour de cette sorte que la pure Gerda va parcourir le vaste monde à la recherche du petit Kay qui a disparu dans le sillage du traîneau de la Reine des Neiges, un soir d'hiver. Au cours d'un long voyage, Gerda interroge les fleurs et les oiseaux, le vent et le soleil qui, peut-être, savent où Kay a été emmené...
Le petit Kay était tout bleu de froid, presque noir, mais il ne s'en apercevait pas, car le baiser de la reine des neiges lui avait enlevé le frisson du froid, et son coeur était, autant dire, un bloc de glace.
Voici un conte d'amitié qui apprend à contempler le monde autrement que dans un miroir brisé !
De la ruelle où se trouve leur maison, Kay et Gerda vont au devant de multiples aventures à la rencontre de la Reine des neiges, dont le château est illuminé par les aurores boréales. Edmond Dulac, cet illustrateur de génie du Golden Age qui dessinait avec son pinceau, offre ici la quintessence de son art.
Il arrive souvent que le diable qui dispose, comme chacun sait, d'immenses pouvoirs, s'amuse à semer la discorde sur Terre pour le simple plaisir de se réjouir du malheur des hommes. C'est à la suite d'un tour de cette sorte que la pure Gerda va parcourir le vaste monde à la recherche du petit Kay qui a disparu dans le sillage du traîneau de la reine des neiges, un soir d'hiver. Au cours d'un long voyage, Gerda interroge les fleurs et les oiseaux, le vent et le soleil qui, peut-être, savent où Kay a été emmené...
Comment le coeur pur et la vaillance de la petite Gerda sauvèrent Kay des splendeurs glacées de la Reine des Neiges. Le conte inoubliable d'Andersen revisité de manière magistrale par un très grand illustrateur contemporain. Une version éblouissante et féérique.
Un des contes d'Andersen les plus étincelants, rendu récemment familier par le cinéma Un fragment de miroir maléfique vient se ficher dans l'oeil de Kay, un jeune garçon au coeur pur amoureux de Gerda. Il devient alors froid et irascible. La Reine des neiges l'enlève sur son traineau, et Gerda, qui le croit mort ou disparu, guidée par ses sentiments amoureux, part à sa recherche, rencontrant des personnages étranges qui l'aident à avancer dans sa quête. Elle termine son périple chez la Reine des Neiges où elle retrouve enfin son ami qu'elle libère de son sort. L'amour et la raison permettent à Gerda de surmonter des épreuves que personne d'autre qu'elle n'aurait su dominer.