Au coeur du royaume d'Elboraz, cinq générations se succèdent. Bravant les ennemis, dépassant les obstacles, une seule et même quête les anime : transmettre et faire grandir la Lumière qu'ils ont reçue. Leur choix sera-t-il le vôtre ? Le don pour l'écriture d'Isabelle Bouquet s'exprime dès son enfance. Elle a grandi dans l'univers des contes. Aussi c'est tout naturellement que, devenue enseignante et pour leur plus grande joie, elle offrira aux enfants ses histoires d'éveil et mettra sa plume au service des autres en créant son association d'aide à la rédaction. Pour Joséphine Wall, peintre visionnaire, entre surréalisme et merveilleux, la peinture n'est pas une carrière mais une vocation depuis l'âge de quatre ans. Elle puise son inspiration auprès de la nature, en Angleterre, où elle réside. « J'ai tant d'images à l'esprit que c'est une course contre le temps pour les réaliser. »
«Quel pourcentage de chance avais-je, moi, auvergnate des années 80 - normalement névrosée, désenchantée de coeur et d'âme - de tomber sur un Socrate contemporain, aventurier de la sagesse, re-découvreur en Orient des enseignements anciens et surtout, en Inde, du parfait Ami spirituel ?...» C'est pourtant la rencontre avec Arnaud Desjardins qui allait orienter définitivement la vie de l'auteur, ouvrant une voie de transformation devant «l'humble crapaud de la spiritualité». Car, si les fées de l'art et de la poésie (René Char surtout) avaient déjà pu éclairer la béance de son être, c'est bien «le baiser» de l'amant spirituel qui réveilla son coeur. Sans baguette magique, mais avec méthode et des outils concrets, le voyage intérieur n'apparaissait plus réservé à une élite, aux champions de haut niveau. Coachée par un entraîneur hors pair, la pratiquante de base avait droit à ses petites gorgées de Sagesse. L'Aimant spirituel est donc le témoignage d'une journaliste qui unit peu à peu quête et enquête et, chemin faisant, découvre que la spiritualité n'est pas séparée de la vie elle-même. Récit d'un parcours actuel, authentique, en mode simple, direct, le texte ne recherche pas «la belle écriture» pour dire la «grande affaire» d'une vie et les difficultés du voyage intérieur. Il est, en somme, un grand sujet ramené au quotidien, une «simple» histoire d'amour, une histoire de coeur : le coeur comme instrument de la connaissance de soi, le coeur, instrument de la plus haute connaissance : prjaña.
« L'amour de l'art, ou l'art de l'Amour ? Sans amour, l'art n'est pas ».
C'est en ces termes que Patrick Mandala introduit cet ouvrage original sur l'art et la pensée indienne, qui réjouira autant l'amateur d'art que le chercheur spirituel. Ode à la Femme et à la beauté, au sacré et à la sagesse, à l'intelligence du coeur et à la connaissance de soi : à l'Inde. A travers la poésie, la peinture et la musique indienne qu'il pratique, l'auteur nous présente ici le fleuron de la peinture indienne, révélant de rares miniatures d'une qualité exceptionnelle, accompagnées de courts textes de l'Inde , des Vedas à Tagore, qui constituent une mini-anthologie de l'art et de la pensée et font de ce recueil un précieux livre de chevet, une invite à une quête intérieure : art de vivre, art d'aimer.
L'Amour ou la Beauté sont là quand «je» n'est plus, affirme le Sage. De Cela, ce livre témoigne.
Patrick Mandala (tisserand, peintre et écrivain), proche de la pensée et de la simplicité du Mahâtmâ Gândhi, vit en Inde depuis 1970 avec son épouse Ushâ, peintre. Orientaliste, il est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages sur l'art et la peinture orientale, le Yoga, la spiritualité indienne et tibétaine. De par ses rencontres avec de grands Maîtres comme le Dalaï-Lama, Kalou Rinpoché, Mâ Ânandamayî (dont il est disciple), les Swâmis des «Centres Védantiques Râmakrishna», de par son cheminement, il se ressent comme un témoin privilégié des spiritualités de l'Orient.
Jardinière, journaliste-photographe de jardins et psychothérapeute, l'auteur perçoit à travers ses observations qu'un enseignement peut être délivré par la nature et, dans sa forme plus intime, par le jardin.
Prendre soin d'un jardin ou d'êtres humains, les aider à panser leurs plaies, " inondations, grêle ou sécheresse " pour les uns, " maltraitances diverses, abandon, deuil, etc. " pour les autres, voilà son but. Les dévastations extérieures subies par la nature entrent en résonance avec celles, plus secrètes, qui endommagent l'être humain. Pourquoi tel arbre va-t-il se régénérer après avoir été déchiqueté par la tempête alors que tel autre périra ? De quel incroyable pouvoir d'adaptation telle plante bénéficiera-t-elle pour survivre dans des conditions extrêmes alors que telle autre s'endormira pendant des décennies ? A quelle source tel enfant ira-t-il puiser pour rire encore et dans quel gouffre tel autre se laissera-t-il aspirer alors que le même drame se joue pour chacun ? La nature humaine, tout comme la Mère Nature de laquelle nous naissons, nous offre un permanent exemple de toutes les forces qui nous composent.
Savoir les reconnaître, se les réapproprier, s'en nourrir pour se soigner et se guérir, c'est, très modestement, ce que ce petit livre tente de vous faire partager.
Rencontrer le maître spirituel, c'est se confronter à la réalité telle qu'elle est, sans égards pour les contraintes provenant de formes sociales vides et pour les idées souvent dérisoires de ce qui est convenable ou qui fait bien dans le décor.
De même, l'instructeur se dresse hautement face à l'ego, pour lequel il est dangereux, car l'ego se reconnaît une autorité, et ce faisant, corrompt la connaissance plus profonde du coeur et de l'âme.
La confrontation au maître n'est rien de moins qu'un chemin direct pour accéder aux recoins de l'être les plus profonds, à la connaissance intime de soi.
En ce sens, l'instructeur est comme un ouragan qui fait rage, mais avec la puissance et la dynamique d'une vraie et rare lucidité.
C'est cette puissance transformationnelle qui jaillit des pages de ce livre, et qui vient brûler en nous avec l'intensité d'un laser. Elle offre au lecteur un aperçu au coeur même de la réalité, sans embellissement, sans volonté d'adoucir la coupe.
Cet ouvrage trace un portrait cru et exact de Lee Lozowick dans sa relation directe et pleine avec les participants à ses séminaires - des amis-chercheurs sur le chemin spirituel.
Ces causeries et échanges de questions-réponses sont amplement ponctués de rires et d'élans de joie, qui accompagnent la transmission du "pur dharma".
Inspiré par l'Amour, ce recueil de poèmes très intimes est une invitation à pénétrer le coeur de notre être, le Coeur de Dieu, à se laisser emporter par cet amour divin, par cet 'amour-amoureux', porteur de toutes les promesses. L'amour est une substance indélébile. Elle s'unit en nous pour que nous ne fassions qu'Un. Laissons-nous transporter et découvrons les réalités du Royaume, de notre Divinité. Quelques photos de sculptures magnifiques de Rodin rythment ces textes empreints de tendresse, de passion et de Vie. « Dieu m'a prise tout entière. », témoigne Carole Aliya, qui depuis 2004 accompagne ceux qui souffrent. Elle se consacre plus particulièrement à l'écriture et à l'enseignement spirituel, au travers de voyages sur les sites sacrés de divers continents : Madagascar, Mexique, Égypte, Israël.
Dans cet ouvrage, l'auteur fait un commentaire détaillé et profond de divers passages des Évangiles. Il montre que l'intention première et ultime des enseignements christiques est de permettre aux humains de devenir eux-mêmes des "christs". "Je suis l'Alpha et l'Omega, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d'avoir droit à l'Arbre de Vie et d'entrer, par les portes, dans la Cité.» Apocalypse (22.13-14)
« Je ne sers à rien. J'écoute la symphonie inutile à laquelle tous les hommes, toutes les femmes, tous les enfants participent et concourent de leurs actes tous très utiles. L'inutilité est le chef d'orchestre. C'est le seul que l'on n'entend pas. Je contemple à quel point tout ce que l'on fait ne sert à rien. J'abandonne enfin toute portée, je laisse tout tomber et je me laisse aimer. L'inutilité est l'âme de toute chose et la respiration de nos actes. Je marche dans la rue. Je suis libre. La liberté ne sert à rien. Dieu non plus. L'inutilité est le sens de ma vie et des mots que j'écris. »
Le regain d'énergie par la voie spirituelle, le chemin de la transformation de soi, est peu souvent abordé alors qu'il est essentiel. Quel est le rôle énergétique de la vigilance ? Comment la prise de conscience de notre propre corps permet-elle de gagner en énergie et d'avancer sur le chemin spirituel ? Au travers de cet ouvrage sont révélés les fondamentaux d'une pratique à vivre au c?ur de la réalité quotidienne, loin de la "mode" actuelle du matérialisme spirituel.
Lionel Cruzille est professeur de Qi gong et énergéticien. Après sept années passées dans les services d'urgences des hôpitaux parisiens, il décide de changer de vie et continue sa recherche spirituelle. Il rencontrera entre autres des guérisseurs et des chamans l'interpellant sur la nature profonde de l'Homme. Sa quête intérieure l'amènera ensuite à rencontrer Arnaud Desjardins dont il suivra l'enseignement.
Il anime aujourd'hui des stages d'énergétique, de Qi gong et des ateliers mêlant conscience corporelle et pratiques méditatives.
Après avoir rencontré Gérard Blitz en 1979 lors d'une rencontre de Yoga, un groupe d'enseignants venant de différentes régions d'Italie s'est formé autour de lui, pour recevoir son enseignement. Ce livre est le reflet de cet enseignement durant les nombreuses rencontres entre Gérard et le groupe de Milan. Il a été écrit au fil de la parole de Gérard, au rythme lent et naturel du corps, des pauses de la respiration, des espaces de silence actif. Même la ponctuation a été omise à dessein, afin que le lecteur puisse entrer dans les suspensions du texte librement, avec sa personnalité et sa compréhension propres. Le langage simple et précis renvoie également à l'expérience du lecteur. Tout cela fait qu'il n'existe plus de séparation entre la lecture et la pratique. Vingt ans après la mort de Gérard Blitz, les auteurs du livre (Carla Sgroi et Ivano Gamelli) ont souhaité accorder les droits d'auteur à L'Istituto internazionale Ricerche Yoga, qui a décidé de mettre ce précieux enseignement à la disposition de tous en élaborant cette nouvelle édition revue et corrigée par Françoise Mazet et Tiziana Piccinelli.
" La Source inépuisable de Joie est dans les mains de l'innocent.
Son jaillissement surgit de son coeur. Son rappel se transmet par son regard. " Avec des mots simples, Marion Mantel témoigne de la Source inépuisable qui vit au coeur de nous-mêmes, au plus profond de notre Être. De manière poétique, elle parle du " Son du Silence dont la demeure est en dedans ", de ce " Son très particulier qui n'a aucune note, mais contient toute note, qui n'a ni début ni fin, mais contient tout début et toute fin.
" Car il est le " Témoin immuable de la Source que nous n'avons jamais quittée "...
Ma vision personnelle est que le temps qui vient sera le temps de la femme.
Depuis cinq mille ans, l'homme a pris les commandes, et il a échoué. Aujuourd'hui, on doit donner une chance à la femme. Aujuourd'hui, on doit lui donner les rênes de tous les pouvoirs. On devrait lui donner la possibilité de laisser circuler ses énergies de femme, de les mettre en action, en oeuvre. L'homme a complètement échoué. En trois mille ans, cinq mille guerres ; tel est l'héritage laissé par l'homme.
L'homme n'a fait que massacrer, tuer, assassiner ; croire qu'il n'a vécu que pour la guerre. Et les quelques jours entre deux guerres, nous les avons appelés jours de paix. Ce ne sont pas des jours de paix ; ce ne sont que des jours de préparation à une nouvelle guerre, des préparatifs pour d'autres conflits. Oui, il ne faut que quelques années pour se préparer, puis de nouveau la guerre recommence, et nous continuons à nous entretuer les uns les autres.
C'en est assez ! On a suffisamment donné de chances à l'homme. Il faut maintenant libérer les énergies féminines.