Le livre des médiums ou guide des médiums et des évocateurs contenant :
• l'enseignement spécial des esprits sur la théorie de tous les genres de manifestations, • les moyens de communiquer avec le monde invisible, • le développement de la médiumnité, • les difficultés et les écueils que l'on peut rencontrer dans la pratique du spiritisme.
Médecin, chercheur, auteur d'ouvrages de grammaire et d'arithmétique, homme éclairé curieux de tout, allan kardec (pseudonyme de h-l rivail) se préoccupa des phénomènes du magnétisme. c'est sur l'insistance de diverses personnalités de l'académie des sciences qu'il entreprit la rédaction de " cahiers de communication ", qui furent ensuite remaniés par l'auteur et édités en deux ouvrages sous le titre du livre des esprits, et du livre des médiums.
Ce petit livre constitue une démonstration magistrale de la présence d'un sens caché dans la Divine Comédie. Avec sa rigueur habituelle, Guénon met au jour l'itinéraire spirituel que Dante l'initié y a décrit sous un voile poétique. Ainsi l'écrivain génial se change-t-il sous les yeux du lecteur en un maître de sagesse, héritier d'une très ancienne filiation ésotérique.
Ce recueil posthume regroupe des études et des articles publiés tout au long de la vie de René Guénon. Ils concernent à la fois la pure métaphysique et la cosmologie, ainsi que leurs applications aux sciences et aux arts traditionnels, sans oublier la dénonciation de quelques erreurs modernes. En un mot, ce panorama peut constituer une excellente introduction à la pensée du métaphysicien.
Du chapitre I de la Première partie, « Le Démiurge », qui est le premier texte qu'il donne à imprimer en 1909, à l'âge de 23 ans, jusqu'à « La science profane devant les doctrines tradionnelles », de 1950, il s'est écoulé plus de quarante ans pendant lesquels Guénon n'a cessé de nous avertir quant à l'évolution de notre monde moderne.
Publié sous le titre « Articles et comptes rendus - tome 1 » aux Éditions traditionnelles, cet ouvrage est constitué d'études et de recensions que René Guénon rédigea pour la revue Le Voile d'Isis de 1925 à 1935, et les Études Traditionnelles de 1936 à 1950, non publiés dans les autres recueils.
On y retrouve les thèmes chers à Guénon, traités sous une forme toujours différente pour approfondir encore la pensée du grand métaphysicien - ou la découvrir.
René Guénon, dans cet ouvrage, traite principalement de la méthode et des différentes voies de réalisation initiatique ainsi que de la question du « Maître spirituel ». Un sujet particulièrement important pour ceux qui sont rattachés à ce qui subsiste encore des initiations du monde occidental. Par ailleurs, Guénon nous éclaire sur la possibilité, à partir de notre état corporel, d'une réalisation spirituelle totale, équivalente à celle des Envoyés divins que les diverses traditions désignent par les noms de Prophète, Rasûl, Bodhisattwa et Avatâra.
Contrairement à ce que suggère le titre, il ne s'agit pas d'un livre réservé aux matheux. Bien au-delà de l'aspect purement quantitatif des mathématiques modernes, il dévoile la réalité symbolique des nombres telle que la comprenaient entre autres les pythagoriciens et Platon. D'autre part, quiconque s'est interrogé sur l'idée d'infini en contemplant une nuit étoilée trouvera une réponse dans la distinction fondamentale de l'infini et de l'indéfini. Quant à la notion de passage à la limite, elle éclaire un aspect essentiel du processus initiatique.
Le Roi du Monde ouvre des horizons insoupçonnés avec la « légende » indo-tibétaine du royaume souterrain abritant la tradition primordiale de l'humanité, c'est-à-dire la sagesse originelle qui constituerait le facteur de réconciliation ultime quand elle sera à nouveau révélée. Tel est le véritable enjeu de la crise que traverse actuellement le monde en cette fin de l'âge sombre ou du Kali Yuga, annonciatrice d'une ère nouvelle à laquelle nous prépare l'oeuvre de Guénon.
Ces recensions de livres et d'articles de revues touchant les thèmes « spirituels » les plus divers sont d'abord parus de 1929 à 1950 dans deux revues dont Guénon était l'« inspirateur » : Le Voile d'Isis et Études traditionnelles. D'une lecture facile, ces critiques et analyses parfois pittoresques constituent un témoignage précieux sur le monde de la spiritualité au sens large, dans la première moitié du XXe siècle. Mais, comme toujours, Guénon met prophétiquement au jour les germes de ce à quoi nous assistons aujourd'hui (confusion et chaos généralisés par oubli des vrais principes).
Les États multiples de l'être compose une trilogie avec Le Symbolisme de la croix et L'Homme et son devenir selon le Vêdantâ. Chaque livre aborde sous un angle différent le rapport de l'être humain individuel à l'être total dont il n'est qu'une manifestation transitoire.
Dans la lignée des autres titres de la trilogie, Les États multiples de l'être est la mise en équation du rêve de Tchouang-Tseu : « Jadis, une nuit, je fus un papillon, voltigeant content de son sort. Puis je m'éveillai, étant Tchouang-Tseu. Qui suis-je, en réalité ? Un papillon qui rêve qu'il est Tchouang-Tseu, ou Tchouang-Tseu qui s'imagine qu'il fut papillon ? Dans mon cas, y a-t-il deux individus réels ? Y a-t-il eu transformation réelle d'un individu en un autre ? » Ce livre pourrait être considéré comme l'équivalent du Livre des morts des Anciens Egyptiens, qui recensait rites et conseils pour affronter avec sérénité l'au-delà. La thématique des différents mondes ou degrés hiérarchisés de l'existence, qui vont du moi individuel au soi universel (reliés par un fil insécable que les hindous appellent le sutratma), est développée avec de nombreux exemples.
Les articles réunis dans ce recueil sont parmi les plus originaux jamais écrits par Guénon, s'agissant par exemple de l'Atlantide ou de l'Hyperborée. Quant à la complexe doctrine des cycles, essentielle pour comprendre la vision traditionnelle du monde - qui contredit la conception « linéaire » des modernes - elle est exposée avec une rigueur et une clarté sans équivalents.
Ce livre, complémentaire du Théosophisme, alerte sur toutes les déviations, contrefaçons, ersatz et parodies de spiritualité authentique. Ces contrefaçons redoutables ne sont pas juste une erreur intellectuelle, mais cachent un conflit de doctrine. Le risque de déséquilibre psychique est majeur pour les individus qui y sont confrontés, alors mêmes qu'ils aspirent sincèrement à la spiritualité et désirent se délivrer de l'enveloppe charnelle.
René Guénon fait ici oeuvre d'historien : il décrit les origines du spiritisme, en démonte le mécanisme, explique les graves dangers inhérents à ces pratiques de communication avec les défunts. En toute inconscience, la majorité des gens piégés par les forces parfois chatoyantes du néo-spiritualisme ouvrent la coquille dans laquelle le matérialisme les a enfermés par le bas, au lieu de l'ouvrir par le haut. Ils se retrouvent alors confrontés à des influences dissolvantes, infrahumaines, parfois même démoniaques.
Aujourd'hui, notre monde déborde d'exemples similaires à ceux choisis par René Guénon - répercussions sectaires, faux gourous, faux messies - avec de grands risques pour le psychisme. La dénonciation argumentée et précise de l'auteur permet de s'en prémunir.
Le comte de Cagliostro, né Joseph Balsamo, est un personnage légendaire du siècle des Lumières, au même titre que le comte de Saint-Germain. Et comme toutes les légendes, il a suscité une controverse, plus actuelle que jamais : prophète de la Révolution et martyr de la liberté pour les uns, agent ténébreux des Illuminati pour les autres, à quelle source mystérieuse puisait-il ses incontestables pouvoirs ?
Quels furent les inspirateurs réels de celui qui voulut rénover la franc-maçonnerie ? La « véritable religion » dont il se réclamait était-elle la Tradition primordiale si chère à René Guénon ?
Pour répondre à toutes ces questions, il fallait le sérieux, l'exigence et l'incomparable documentation d'un auteur lui-même initié. À cet égard, le livre culte du Dr Marc Haven n'a jamais été surpassé.
Ibn 'Arabî, le plus grand des maîtres de la spiritualité islamique, se devait d'écrire un traité sur l'amour, extrait de son oeuvre immense : Les Conquêtes mecquoises.
L'Islam, dernière religion révélée, inclut l'amour dans sa divine Loi et, contrairement à l'opinion occidentale courante, lui fait une large place.
Dieu est tout à la fois l'Amant, l'Aimé et l'Amour. II crée par amour de se faire connaître et ses créatures sont les manifestations de cet amour. Elles sont donc toutes éminemment et essentiellement concernées par l'amour sous son triple aspect divin, spirituel et naturel.
Chacun alors se sentira attiré et engagé à vivre cet amour décrit d'une manière si captivante et exhaustive.
Interpelé par deux versets se trouvant dans la Bible (Genèse 6.4 et 13.33) dans lesquels la présence de géants est mentionnée, l'auteur a recherché les traces de ces êtres hors normes dans les légendes et les mythologies du monde entier ainsi qu'à travers des travaux d'ethnologues. Gilbert Le Cosses relève des similitudes, et notamment celles laissées par des êtres venus d'on ne sait où. Les mythologies irlandaises racontent qu'une race de personnages extraordinaires fut initiée au druidisme dans les îles d'Hyperborée. Mais ces initiateurs, qui sont-ils et d'où viennent-ils ? Et ces druides, intermédiaires entre les dieux et les hommes, personnages très importants de la société celtique au point qu'ils sont à la fois ministres du culte, théologiens, philosophes, gardiens du Savoir et de la Sagesse, historiens, juristes et aussi conseillers du roi, ont-ils laissé des descendants ? Ces adeptes de l'oralité, qu'ont-ils laissé derrière eux ? Leur savoir est-il conservé dans nos mémoires, ou sommes nous encore en mesure de le redécouvrir ? Ce livre est prétexte à expliquer une part inconnue de l'homme, de l'origine des mégalithes et permet de faire le point sur le monde druidique. Ce qu'il fut, ce qu'il est, ce qu'il en reste et pourquoi et comment se relie-t-il encore au monde des dieux ?
Issu d'une famille modeste chrétienne, Khalil Gibran suit sa mère qui, aspirant à une vie meilleure, quitte le Liban pour Boston.
Nostalgique, il retourne dans son pays et entame des études à l'Ecole de la sagesse à Beyrouth où il étudie l'arabe et le français, tout en suivant un enseignement religieux et moral. Passionné de peinture, Khalil Gibran décide de s'installer à Paris et d'étudier à l'Ecole des beaux-arts, ce qui lui permet de rencontrer de nombreux artistes tels Rodin, Debussy, Maeterlinck ou Rostand. Il s'essaie également à la poésie, non sans reconnaissance du public. Son génie créatif lui vaut quelques oeuvres remarquables dont l'incontournable 'Le Prophète', véritable référence spirituelle. Intellectuel engagé, il préside une association à la fois littéraire et politique destinée à aider les pays du Moyen-Orient à s'affranchir du joug ottoman. Devenant membre de la New Orient Society, il a le privilège de rencontrer l'illustre Gandhi.
Lassaâd Metoui est un calligraphe d'origine tunisienne. Il a illustré de nombreux recueils dont plusieurs textes. Car nul ne sait à l'avance la durée de vie d'un amour; les dix portes de l'amour; le prophète, le jardin du prophète, Jésus, fils de l'homme de Khalil Gibran aux éditions Dervy et le voyage des mots d'Alain Rey éditions Guy Trédaniel.
Le coffret regroupe la trilogie de Khalil Gibran calligraphiée par Lassaâd Metoui.
- Le Prophète - Le jardin du Prophète - Jésus, fils de l'homme.
L'Homme et son devenir selon le Vêdantâ compose une trilogie avec Le Symbolisme de la croix et Les États multiples de l'être. Chaque livre aborde sous un angle différent le rapport de l'être humain individuel à l'être total dont il n'est qu'une manifestation transitoire.
Le Vêdantâ est une école de philosophie indienne, basée notamment sur les Upanishad, caractérisée par une pensée non-dualiste : il n'y a pas de différence entre l'âme individuelle et la réalité ultime, la conscience pure. René Guénon s'intéresse tout particulièrement à la doctrine d'Adi Shankara, l'un des plus célèbres maîtres spirituels de l'hindouisme, consacrée à l'être humain et à son avenir posthume.
Sans dogmes abstraits ni morale, il expose la possibilité pour l'être humain emprisonné dans le continuum spatio-temporel d'y échapper et de retourner à la source de laquelle nous sommes tous issus et destinés à retourner, jusqu'à la délivrance appelée moksha. Le thème unique du lien entre l'être individuel et l'être suprême est traité avec la pureté glacée qui caractérise le style guénonien.
Cette nouvelle édition expose en détail les conceptions philosophiques, métaphysique, spirituelles ainsi que les techniques de ce yoga original qui est à la source des formes de yoga que nous connaissons en Occident, à savoir le Hatha-yoga traditionnel et le Shivaïsme du Cachemire.
La présentation des techniques, claire et précise, largement illustrée de photos, permet à chacun d'avoir un support fiable pour engager ou approfondir sa pratique du yoga.
Au Japon, les dieux et les déesses de la mythologie sont toujours là. Leurs sanctuaires sont remplis de visiteurs fervents. Un peu partout, des monuments, (les torii), indiquent leur présence.
Dans les textes sacrés, les ancêtres du monde sont les kami « celui qui est placé en haut », à commencer par le premier couple divin, Izanagi et Izanami, qui donne naissance à l'archipel formant le Japon, mais aussi au vent, aux arbres, à la montagne...
Nous n'avons pas, nous Occidentaux, dans nos manières de penser, de quoi saisir aisément cet ensemble de croyances et de rites qui possèdent de multiples visages, ignore les dogmes et honore des kamis (dieux) puisés dans le réel ou dans l'énergie des éléments. Il existe certaines ressemblances avec la religion des Celtes. Mais le mieux est de tenter de vivre cette relation à l'univers au sein de sanctuaires toujours érigés en des lieux aux puissances telluriques.
Ces croyances et rites se retrouvent dans deux courants : le shintoïsme appelé « la voie des dieux » et le bouddhisme. Du VI e siècle à la fin du XIX e siècle, le Shintô se mêla de plus en plus étroitement au bouddhisme. Tous les Japonais partageaient leurs activités religieuses entre les deux religions, chacune étant considérée comme convenant mieux pour certaines cérémonies.
Les prêtres de l'une allant jusqu'à jouer un rôle dans les temples de l'autre.
Les aspects du shintô sont liés à la sacralisation de la nature, aux mythes fondateurs de la civilisation japonaise, aux relations avec les âmes défuntes. Après sa disparition à la fin de la seconde guerre mondiale, les Japonais qui ont grandi pendant cette période ne connaissaient que quelques éléments de leur cosmogonie. Depuis une trentaine d'année un retour aux traditions s'opère lentement.
"L'Esotérisme ne peut être écrit ni dit ni, par conséquent, être trahi. Il faut être préparé pour le saisir, le voir, l'entendre - à votre choix. Cette préparation n'est pas un savoir, mais un pouvoir, et ne peut s'acquérir finalement que par l'effort de la personne elle-même, par un combat contre ses obstacles et une victoire sur la nature animale humaine. L'initié véritable peut guider un élève doué pour lui faire parcourir le chemin de la conscience plus rapidement, et l'élève, arrivé à des étapes d'illumination par sa propre lumière intérieure, lira directement l'ésotérisme de tel enseignement."
A lforigine, la Salutation au Soleil est un rituel du matin, en lfhonneur du soleil levant qui va apporter son energie a la terre, bien qufil soit possible de pratiquer la serie a tout moment de la journee.
Pratiquee quinze a vingt minutes par jour, la Salutation au Soleil est parfois consideree comme equivalente a une seance de yoga complete.
La Salutation au Soleil est une composition dynamique de mouvements et de positions (appelees .sana) effectuees dans un certain ordre et en correlation avec la respiration. La sequence se deroule de telle maniere que le dos sfincline alternativement en avant et en arriere. La concentration et la participation active de la conscience sont egalement mises en avant.
Angélus Silésius est certainement une des figures centrales de la mystique allemande et sans doute de la mystique universelle.
Mais peut-on encore parler de mystique avec les sentences si profondes du " Pèlerin Chérubinique " ou plutôt, comme pour maître Eckart, de " gnose spirituelle " ? La vision du monde d'Angélus Silésius est paradoxale. Elle renverse constamment la conception ordinaire que nous avons de l'homme, de Dieu, du chemin spirituel. En fait, sa parole est profondément non-dualiste et se rattache à la Philosophia Pérennis, ce fond spirituel commun que l'on retrouve tant en Orient qu'en Occident.
Au même titre qu'Eckart ou Tauler, et par opposition à une théologie naïve, Silésius a posé les bases d'un christianisme " gnostique " intériorisé.
Mais comme le montre l'étude de sa vie, il n'était pas seul. En effet, il avait un maître spirituel et se rattachait au cercle de disciples qui s'était constitué autour d'Abraham von Franckenberg, le biographe de Jacob Boehme, le cordonnier visionnaire.
Il y a quelques années déjà, jacques, jeune homme perdu dans ses drames, avait rencontré césar, vieillard solitaire et insupportablement heureux.
Ah ! si vous aviez vu ses yeux ! l'un cherchait un père, l'autre un fils, et leur rencontre fut un festin : une école du sacré dans l'ordinaire. et puis césar mourut, léguant à son jeune compagnon les quatre secrets du bonheur au quotidien. lorsque jacques retrouva ses amis, ils eurent du mal à le reconnaître : il avait changé dans sa façon de parler, de marcher, de manger. et il avait, au coin de l'oeil, ce petit supplément d'âme qui donne au regard un silence si bavard.
Quelques-uns prirent l'habitude de se réunir autour de lui, au grand café des négociants, pour entendre des histoires racontant césar.
Jacques avait connu un césar eclaireur, mais c'est un césar enchanteur qu'il leur offrit en leur révélant les quatre fameux secrets de son vieil ami. ils inventèrent ensemble des jeux, de nouveaux jeux, pour simplement apprendre à être mieux. bientôt ils furent dix, puis vingt, puis trente à venir rejoindre l'aventure.
César avait eu un fils, c'est une famille qu'il avait maintenant.
Une introduction à l'imagerie complexe et aux processus cycliques tant dans la pratique des alchimistes que dans la représentation artistique alchimique, dont l'or symbolise la consécration suprême. Cet ouvrage, avec le traité du Valenciennois Jehan de La Fontaine, contribue à dissiper les préjugés qui l'entourent et met en lumière certains aspects déterminants de l'alchimie.
Ce texte est une argumentation passionnée autour de la nature et la dignité de l'art comme acte d'attention. L'argumentation maintient dans la lumière un héros principal, l'artiste traditionnel indien. Ce livre nous propose une vision de l'art et sa pratique comme yoga appartenant à une culture raffinée de la pensée, de l'esprit et de la main.
L'auteur nous livre sa compréhension des traditions artistiques en Inde, et plus largement dans le monde avant la période moderne, ainsi que sa vision des dimensions sacrées de l'art qui témoignent d'une érudition, d'une clarté et d'une sensibilité sans limite et, dans ces domaines, son autorité est sans égale. Il a recueilli et offert à ses lecteurs ce qui maintenant est reconnu comme l'énoncé même du « spirituel en art ».
En matière d'art, de symbolisme, de mythe et de religion, Ananda K. Coomaraswamy nous offre un apprentissage pour « l'homme intérieur » qui n'accepte pas de vivre superficiellement et sans direction.