La terre est un être vivant ; l'hypothèse Gaïa

À propos

De concert avec le célèbre biologiste Lynn Margulis, James Lovelock a conçu une hypothèse scientifique permettant de considérer que les systèmes vivants de la Terre appartiennent à une même entité régulant l'environnement de manière à préserver les conditions favorables à la vie : tel est le sens de l'hypothèse Gaïa, nom grec de la déesse de la Terre. Il ne s'agit rien de moins que de reposer la problématique de l'histoire de la vie et de la Terre.
Notre "monde vivant", étonnante anomalie au regard de la planétologie comparée, ne forme-t-il pas un système, un "tout" comparable à un "organisme" autorégulé dont il nous resterait à comprendre ce que James Lovelock appelle la "géophysiologie" ? L'hypothèse Gaïa est maintenant considérée avec beaucoup de sérieux : il est devenu évident que la vie est affectée par l'environnement, mais qu'elle l'affecte aussi en retour, et souvent de manière à maintenir des conditions qui lui sont favorables.

Rayons : Sciences & Techniques > Sciences de la Terre et de l'Univers > Géologie

  • Auteur(s)

    James Lovelock

  • Éditeur

    Flammarion

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    04/10/2017

  • Collection

    Champs Sciences

  • EAN

    9782081416543

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    284 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    10.8 cm

  • Épaisseur

    1.3 cm

  • Poids

    208 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

James Lovelock

  • Naissance : 26-7-1919
  • Age : 104 ans
  • Pays : Royaume Uni
  • Langue : Anglais

Scientifique et écologiste indépendant, James Lovelock est l'initiateur de l'hypothèse Gaïa qui envisage la Terre comme un être vivant en évolution aspirant à se réguler elle-même pour favoriser la vie. Lovelock figure, selon le magazine Prospect, parmi les 100 plus grands intellectuels, et est considéré comme un « scientifique visionnaire » (The Times) et « l'un des plus grands penseurs de notre temps » (New Scientist).

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